Mario Bergeron multicolore

Quotidien, souvenirs, coups de coeur, etc.

#nature
posté le 07-02-2015 à 11:48:41

Mystères de la nature : Le Gejagaja d'Afrique centrale

Le Gajagaja est une étrange bête que l'on peut croiser en Afrique centrale. À moitié insecte et à moitié animal, le Gajagaja est un être très imprévisible, possédant un estomac élastique, pouvant contenir une grande quantité de nourriture. Le Gajagaja se nourrit de tout ce qu'il voit, sans distinction. Il se déplace silencieusement, si bien que ses victimes humaines ne l'entendent pas approcher. Alors retentit le cri terrible du Gajagaja : SLURP ! SLURP ! SLURP ! Le Gajagaja vit environ une trentaine d'années. La femelle pond une douzaine d'oeufs au cours de la saison des amours. Trois petits ont l'habitude de survivre. Les Gajagajas vivent en communauté, tout en chantant gaiement. Histoire terrifiante : en juin 1981, onze représentants d'un zoo allemand ont tous été absorbés par un seul bébé Gajagaja, ainsi que leur camionette.

 


 
 
posté le 28-01-2015 à 01:44:32

Mystères de la nature : Le gorille belge

Animal peu connu, car on ne le croise qu'en Belgique. Il est beaucoup plus petit que le gorille d'Afrique, mais possède une musculature étonnante. Cette bête vit en communauté dans les forêts, répondant à une organisation sociale presque villageoise. Le gorille le plus bêta est souvent le maire de la communauté, ce qui le rapproche des caractéristiques politiques des humains. Le cri du gorille belge est : CHUNKA ! CHUNKA ! CHUNKA ! La femelle pond quatre ou cinq oeufs, mais un seul des bébés survit. Ces femelles sont très affectueuses, berçant le petit en lui chantant des succès d'Adamo. Par contre, tous les mâles deviennent les pères de l'enfant, lui enseignant l'art de la chasse à la frite sauvage, la principale nourriture du gorille belge. Cet animal, chose étonnante, partage un point commun avec les ours : il hiverne. Ainsi, à la fin de septembre, alors que les arbres à frites n'ont presque plus de fruits, le gorille belge peut devenir très dangereux pour l'être humain. En effet, cherchant coûte des frites pour la réserve hivernale, le gorille belge confond les piétons et sportifs déambulant sur les routes en bordure des forêts, s'attaquant aux adaptes de la course à pieds ou des randonnées pédestres, sans oublier les cyclistes. Plus d'un citoyen est ainsi disparu. Une protection : marchez sur la route en parlant dans un téléphone : le gorille belge est bêta, mais pas au point d'attrapper une indigestion en croquant un utilisateur de portable.

 


 
 
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