Voici le signet pour Ce sera formidable. C’était la première fois que ma photo apparaissait sur un de ces objets. Le court texte a été écrit par l’adjointe à l’éditeur, mais je ne sais toujours pas pourquoi elle mentionne « L’enfance à Trois-Rivières. » La photographie, pour ce livre de 2009, date de… 2004. À ce moment-là, un éditeur avait dit « Oui, nous allons publier votre manuscrit, monsieur Bergeron. Avez-vous une photographie, pour mettre à l’endos? » Non, je n’en avais pas. Alors, j’avais payé une séance de pose chez un photographe et, trois semaines plus tard, l’éditeur ne voulait plus publier le livre. Il n’était pas dit que j’avais payé cette photo pour rien! D’ailleurs, je ne portais pas les mêmes lunettes qu’en 2009.
Commentaires
C'est très rare que je me casse la tête en écrivant un roman. J'aurais plus de mal avec des textes courts. Merci !
Je crois que j'aurais été trop paresseux pour écrire un livre. J'ai écrit dans des journaux et des revues. Mais toujours des textes courts. Cela demande moins d'efforts et ne prend pas le chou, comme on dit par ici (autrement dit qu'on se casse éperdument la tête).