Je me souviens que j’avais écrit à ces bouquineuses pour « vanter ma marchandise » et que la réponse avait été tiède. Elles ont tout de même accepté et, le moment venu, il y avait moins de gens que lors d’autres rencontres. Cependant, les femmes ont été ravies et plaignaient celles qui ne s’étaient pas déplacées, parce que je n’étais pas un « auteur connu ». D’ailleurs, le cachet reçu était moindre que celui accordé à d’autres. Nuit gratuite dans une maison plus que centenaire! Je garde un bon souvenir de ces femmes et de cette soirée, qui a eu lieu en 2001. L’article ci-haut a été publié dans l’hebdo de Valleyfield.