Mon nouvel éditeur a tenu promesse : je vais recevoir sous peu un contrat pour un deuxième roman, qui pourrait être publié cette année. Dès le départ, il m'avait parlé de plusieurs. Son choix s'est porté sur Le pain de Guillaume, roman qui se déroule au 17e siècle, en Nouvelle-France. Il a été créé voilà quinze années ! Je ne sais pas quels sont ses plans de mise en chantier pour ce livre, mais j'imagine que j'aurai des nouvelles au cours de l'été. Quoi qu'il en soit, j'ai recommencé une autre relecture.
Et ce n'est pas tout ! Depuis une semaine, j'entretiens des échanges de courriels avec un... second éditeur. Son choix ? Le pain de Guillaume ! Je demeure fidèle à monsieur Broquet, d'autant plus qu'il s'était penché sur ce livre avant l'autre. J'ai proposé de nouvelles avenues au second éditeur, mais il ne m'a pas encore répondu. Peut-être a-t-il jugé que j'ai montré peu d'enthousiasme, parce que sa politique vise le livre numérique, auquel je crois très peu. Ceci demande réflexion et fera sans doute l'objet d'un article.
Commentaires
Le second éditeur ne s'est pas manifesté. Il m'a semblé un peu confus... Je n'ai pas reçu le contrat, mais ils sont en déménagement. Peut-être pas le bon moment pour penser à ces choses.
Chouette !
Ah, je croyais que c'était une référence au petit blog lancé à propos du roman qui est sur le point d'être commercialisé, et qu'on peut lire en cliquant sur le lien Gros Nez.
Oh pardon Mario! J'étais loin du compte.
Je m'en suis tenue à votre assertion au sujet "de la réception prochaine d'un nouveau contrat pour un deuxième roman".
A présent vais aller voir ça de plus près...sourire..
Gros-Nez le quêteux n'est pas mon premier roman publié, mais mon dixième. Il y a aussi 4 participations à des collectifs. Il y a la liste, dans le tout dernier article.
Merci pour ce souvenir.
Bravo. J'ai lu sur un autre blog le résumé de votre premier roman.Cela a suscité en moi des souvenirs d'enfance liés à un homme (ingénieur dans les sous-marins) qui avait tout lâché suite à une déconvenue amoureuse (il y avait d'autres raisons sous-jacentes plus profondes je suppose /une fuite éperdue?) .Cet homme parcourait ainsi la France de long en large et autres pays..et deux fois par an lorsque ses pérégrinations l'amenaient dans mon village mon père lui donnait l'hospitalité.J'aimais beaucoup cet homme-là..me souviens de son surnom "kutulic" et des échanges avec lui liés à sa vie sur les sous-marins puis le résumé de sa marche vers les hommes de tous pays...me souviens de partie d'échec..etc.
Un père NoËl plus vrai que nature..
C'est bien la première fois, en presque 20 années, qu'une telle chose m'arrive !
Bonsoir Mario,
Les affaires reprennent, c'est encourageant pour toi. Compliments,