Une foule compacte, près du pavillon du Téléphone
Le pavillon américain avait près de vingt étages. Conséquemment, les escaliers roulants étaient le moyen de se déplacer.
Des piétons près des lampadaires futuristes, qui avaient laissé une belle impression.
Un autre élément futuriste : cette "cabine" téléphonique présentait des appareils avec boutons poussoirs, et non la petite roulette familière au public de 1967.
Une longue file d'attente pour entrer au Labyrinthe. Soyons honnête : ce n'était pas partout ainsi. Au pavillon nommé, ajoutons celui des USA, de l'URSS et celui du Téléphone. Une ou deux heures d'attente!
L'Expo sous la pluie... Triste ! Un des défauts du lieu : peu d'endroits pour s'abriter.
Un autre défaut : peu de restaurants avec un menu aux coûts abordables. Ceux des pavillons nationaux étaient hors de prix. Mes parents, comme tant d'autres gens, arrivaient avec leur nourriture.
Sur cette photo : marcher, grimper, naviguer. Ajoutons le minirail et... descendre !
Toutes les photos sont extraites du livre Portraits de l'Expo, de Robert Fulford, publié en 1968 et depuis hors commerce. Les commentaires résument des propos lus dans cet ouvrage.
Le fichier audio : Le blues de la métropole, par Beau Dommage (1975). Les premières paroles : "En 67 tout était beau. C'était l'année de l'amour c'était l'année de l'Expo. Chacun son beau passeport avec une belle photo..."
Commentaires
Mon père n'avait aucune patience pour attendre et c'est pourquoi je n'ai pas visité le Labyrinthe et le pavillon américain. Il y aura d'autres articles. Reste branché !
Bonsoir Mario, Intéressant ce reportage sur l'Expo universelle, Je n'ai visité que l'Exposition Universelle de Séville en Espagne en 1992 et le seul souvenir que j'en ai gardé, c'est aussi les longues files d'attente....