Lundi le 14 septembre 2015, je reçois, par courriel, le contrat de publication pour mon roman Le pain de Guillaume, créé voici une quinzaine d'années. C'est la première fois depuis 2003 que j'aurai un second roman publié par un même éditeur. La confiance de Marcel Broquet me flatte beaucoup, me rend optimiste. Tout ceci sans avoir lu l'évaluation du roman !
À ce point, je ne sais pas quand le roman sera sur le marché. Cependant, en avril dernier, j'avais reçu un pareil message et, une semaine plus tard, j'avais la page couverture entre les mains et, sept semaines après, Gros-Nez le quêteux était une réalité. C'était très, très rapide, puis excitant !
Je ne vous présente pas le résumé de ce roman, car j'aurai l'occasion d'y revenir. Tout juste que cette fiction se déroule en Nouvelle-France, au 17e siècle, et qu'il s'agit d'un livre davantage français que québécois. En effet, la vie sociale de France y est respectée, puisqu'elle était de mise dans cette colonie d'Amérique. Les trois ordres, par exemple, sont présents, ainsi qu'un certain vocabulaire de politesse et de courtoisie.
C'est aussi mon roman le plus documenté. Il doit y avoir une vingtaine de lectures derrière ce texte, dont l'imposante Iroquoisie, un livre sur la traversée de l'Atlantique par voiles, puis sur les "Filles du roi".
Je suis très content de penser que ce texte pourra être accessible au plublic, car, à deux reprises, il a passé près d'être publié, sans que cela ne se matérialise.
Bien sûr, je vous tiendrai au courant de tous les développements. En attendant, les liens suivants vous mènent vers des extraits de ce futur roman :
http://marioextraits.eklablog.com/manuscrit-le-pain-de-guillaume-a37861294
http://marioextraits.eklablog.com/manuscrit-le-pain-de-guillaume-a38061672
http://marioextraits.eklablog.com/manuscrit-le-pain-de-guillaume-a37345671
Je ne peux m'empêcher d'ajouter ceci : dès le mardi, le roman était entre les mains de la correctrice ! Rapide, rapide...
Commentaires
Ah, pour être travaillé... Mais ce ne l'est jamais assez. Ce que je crains de la correctrice est qu'elle ajoute des mots qui n'existaient pas, au moment du récit. Exemple : Bébé, qui est un mot du 19e siècle.
Je te souhaite un plein succès. J'ai lu un de tes extraits. C'est travaillé. Bravo !
Ce proverbe et moi ne faisons pas bonne équipe.
Bonsoir Mario, tout vient à point pour celui qui sait attendre dit le proverbe !