Monsieur Salomé a maintenant deux ans. Les points initiaux ont pris de l'ampleur : il aime jouer et se montre très affectueux. Il y a un élément commun : quand je me mets au lit, il se précipite près de moi, ronronne, désire se faire caresser, se met en position pour que je le touche sous le menton, sur la bédaine, etc. Le hic est qu'après cette séance, il se couche contre mes jambes, ou sur mes jambes, et qu'il devient alors très lourd pour ma personne. Difficile à déplacer.
L'an dernier, je me plaignais qu'il était pesant. Il a perdu du poids, mais pas de façon substantielle. Sa gourmandise de 2016 était sans doute due à son développement. Moi qui étais habitué aux chattes, je note la différence avec les garçons : c'est plus lourd!
Suite aux mésaventures de l'an dernier, je ne l'ai pas sorti en 2017, mais il n'a pas semblé s'en plaindre. Il aime respirer le grand air sur mon balcon. Il y a une semaine, pour la première fois, j'ai fermé la porte en ne sachant pas que monsieur Salomé était dehors. Le thermo indiquait autour de zéro degrés. Quand je me suis rendu compte que le charmant n'était nulle part, j'ai alors pensé qu'il pouvait être à l'extérieur. En ouvrant la porte, il est rentré comme une flèche, le poil de queue hérissé, frigorifié.
Il y a aussi eu une mésaventure alors qu'il s'est faufilé derrière la lessiveuse. C'est le truc classique du chat : capable d'y entrer, mais incapable d'en sortir.
Comme indiqué précédemment, il aime toujours jouer, mais fait moins l'acrobate cinglé que lors de sa période minet. J'ai des petites balles de plastique, en forme d'oeufs, qu'il adore boxer. Évidemment, une fois par jour, je dois passer le balai sous les meubles, car la plupart de ses jouets s'y cachent. Il apprécie aussi quelques courses le long du couloir et s'amuse encore avec la souris que ma soeur lui avait acheté lorsque nous nous étions rendus à la SPA pour l'adoption. J'ai dû perdre cette souris une centaine de fois! Il y a aussi des souris avec un mécanisme sonore à l'intérieur, ce qui l'intrigue beaucoup.
Je suis content de ce chat, mais même après presque deux années de disparition, il m'arrive de penser à ma si gentille chatte, qui a vécu près de moi pendant près de seize années.
Commentaires
Eh oui !
Saletés de chats adorables !!!!
J'ai vécu presque ma vie entière avec un animal domestique. Enfant et adolescent, ce fut deux chiens. Depuis mes 20 ans, il y a eu six chats, dont un n'ayant pas atteint l'âge d'une année. Ils vivent donc longtemps à mes côtés.
J'imagine facilement le plaisir qu'on peut éprouver quand on a un chat. Mais, je suis trop paresseux pour en acheter un. C'est tout de même beaucoup de contraintes. Je le vois chez ma fille qui, un moment, en a eu deux et,qui, par exemple, est bien ennuyée quand elle doit s'absenter longtemps, chez ma petite-fille qui vient de perdre le sien et qui a passé presque trois mois chez le véto. Et puis j'habite un appartement en ville sans balcon. Trop de tracas, j'abandonne à l'avance. Egoïste, hein ? Florentin
Avant cette chatte, j'avais eu une autre chatte, qui avait vécu 14 ans. Bref, c'était 30 ans avec des filles. Quand je suis passé à la SPA, il y avait peu de chattes disponibles, puis ma soeur trouvait ce petit chat amusant (Vrai qu'il était hyperactif en jouant), alors je l'avais acheté.
Je suis contente de savoir que tout va bien pour toi et monsieur Salomé. C'est normal que tu penses encore à ta chatte, seize ans de cohabitation ça ne s'oublie pas facilement.
@+