TRACE COQUILLETTE : Une petite coquille, en somme...
JUAN PIZZARO : Avant sa carrière sportive, il livrait de la pizza.
JOSE TARTABUL : La tarte à boule ? La tarte à bulles ?
ANGEL BRAVO : Bravo, mon ange.
VLADIMIR GUERRERO : J'ai toujours pensé curieux d'avoir un nom aussi latin flanqué d'un prénom tant soviétique.
PAUL POPOVICH : Allez, Popo! Lance la baballe!
JESUS ALOU : Si Jésus est le fils de Dieu, il faut déduire que le nom complet du divin est Dieu Alou.
BILL MONBOUQUETTE : Je pense surtout que l'équipe de Boston des années 60 avait aussi un Yastrzemski, un Petrocelli, un Conigliaro.
KENT HRBEK : Tentez de prononcer ce nom. La solution à la fin de l'article.
ZEKE BELLA : Une belle zeke ? Heu...
MILT PAPAS : "Moi, mon papa s'appelle Papas."
HEATCLIFF SLOWCUM : "Mange ta soupe, Heatcliff!"
MOE DRABOWSKY : J'ai toujours pensé que c'était un nom idéal pour un vampire de film d'épouvante.
ROWLAND OFFICE : Un gars de bureau...
BUNNY FABRIQUE : Oui mais, qu'est-ce qu'il fabrique ?
QUINTON McCRACKLIN : J'adore la sonorité de ce nom!
BILL GOGOLEWSKI : Un homme à gogo.
JOHN TSITOURIS : Un p'tit touriste ?
BOOTS POFFENBERGER : Pfff...
ZOILO VERSALLES : "Zoilo, mange ta soupe!"
WILLIAM VAN LANDINGHAM : Fait partie du club des noms de famille de 13 lettres. C'était très long à écrire au dos de son uniforme. Cependant, l'an dernier, le club des 13 lettres est passé au second plan avec l'arrivée d'une recrue du nom de JARROD SALTALAMACCHIA. Et je ne l'écrirai pas deux fois.
KENT HRBEK : Il y a un E si muet entre le H et le R qu'on ne l'écrit pas. Se prononce : Her-Bek
Commentaires
Oh mais, Fkirentin, ce ne sont pas des surnoms, mais leurs véritables noms et prénoms (sauf dans le cas de Boots)(. Il y a aussi des surnoms, mais j'en avais déjà parlé dans un autre article.
Salut Mario. Les supporters sont de grands enfants De grands enfants finalement pleins de tendresse. Tous ces surnoms sont plutôt gentils, plutôt mignons. Chez nous, ceux qu'on donne, par exemple, aux catcheurs sont un peu plus guerriers, destinés à nous foutre la trouille. Quoique. On a eu longtemps un catcheur qu'on appelait "l'ange blanc". C'était le gentil, celui qui gagnait tout le temps
Il y en a dans tous les domaines, mais je suis persuadé que Gogolewski demeure le seul dans l'annuaire téléphonique de sa ville.
Avec des noms pareilles ? pas étonnant qu'ils aient finis au Baseball....Je plaisante !