Mario Bergeron multicolore
Quotidien, souvenirs, coups de coeur, etc.
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Mario Bergeron multicolore
Auteur: MarioB
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Quotidien, souvenirs, coups de coeur, etc.
Créé le: 21-12-2014
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Vef Blog accueilBon anniversaire à Salomé
C'est l'anniversaire de ma chatte Salomé. Je ne connais pas la journée précise, mais je sais qu'elle est née en mars 2000. Le calcul est simple à faire : quinze ans. Un record ! Elle n'a aucun problème, sinon qu'elle boit davantage qu'il y a quelques années. Ceci ne veut rien dire : Salomé No 3, à 14 ans, courait sur les clôtures et, un mois plus tard, elle était morte.
La présente Salomé est la plus discrète de mes cinq chats. Elle est aussi la seule à n'avoir jamais capturé un oiseau. Jeune, elle jouait peu. Elle ne miaule presque pas. L'affection ? Comme tous les chats : quand elle en a le goût. Par contre, j'ai un souvenir particulier de cette affection. En mai 2010, j'avais été absent pendant six jours, pour participer au salon du livre de l'Abitibi. La voisine avait la clef du logement et passait chaque jour pour lui donner à boire et à manger, vider son petit coin. Ma mère et ma soeur sont aussi passées. Le jour de mon retour, en entrant dans la maison et après avoir dit son nom, Salomé s'était fendu d'un miaulement très expressif, courant vers moi pour que je la prenne dans mes bras et la caresse. La photo date de ce moment. Je l'ai choisie parce qu'on voit très bien cette petite tache jaune qu'elle a entre les deux oreilles, comme si une goutte de peinture était tombée en ce point lors de sa naissance.
Salomé, comme les chats précédents, a été opérée. Pas de maternité ! C'est une chatte douce, mais si un autre chat se présente dans sa cour, elle devient folle de rage ! J'ai des chats depuis mes 20 ans : deux mâles et trois femelles, portant toujours le nom de Salomé. Comme une dynastie, quoi !
Le roman en cours
J'ai commencé à écrire le roman en cours le 1 août 2014. Il n'a qu'un plan informel, et, pour une rare fois, je ne connais pas la finale, tout comme je ne sais pas à quelle période il se terminera. Malgré ces incertitudes, le roman se nourrit à même mes écrits quotidiens. Par contre, je savais quelles en seraient les étapes, les caractéristiques, et je connaissais les personnages de décor.
Le roman porte le titre de Le cochon de la maudite française. Pas de panique ! Le cochon est une tirelire, et l'expression "Maudite française", bien que peu sympathique, est courante au Québec. Le personnage est-il une française ? Elle est née à Paris, d'une mère célibataire, alcoolique, mais qui donnera à son enfant beaucoup d'amour. Cette femme, Jeanne, est déjà présente dans mes romans publiés. Artiste peintre de grand talent, elle est souvent confuse, susceptible et incohérente. Au Québec, elle était sans cesse protégée par son frère Roméo, grand admirateur de ses toiles. Quand la menace de la Seconde Guerre mondiale se profile, Roméo, malgré l'avis de Jeanne, se rend à Paris pour chercher sa soeur et sa petite fille, Bérangère. Cette séquence, de cinq années, est racontée dans mon livre publié L'Héritage de Jeanne. Jeanne meurt misérablement en 1945 et l'enfant Bérangère est confiée à Renée, fille de Roméo.
C'est à partir de ce point que mon roman débute, cela en respectant les présences sporadiques de Bérangère et de son entourage dans les livres publiés.
Un fait intéressant dans le cas de Bérangère est l'année de sa naissance : 1936. Faites le calcul : à 20 ans, au coeur des années 1950, elle est comme toutes les filles et désire se marier. Dix ans plus tard, rien ne va plus dans l'union. Ajoutons une autre dizaine et vous avez le féminisme des années 1970, puis l'affirmation des femmes. Bérangère passera de "Épouse à la maison" à femme d'affaires.
Bérangère vit toutes ces étapes, tout en étant mère de trois filles. Elle vit un mariage malheureux, auprès d'un homme autoritaire. Puis elle partagera la fascination de Roméo pour Jeanne, reprenant contact avec un homme qui l'a connue à Paris. Même après toutes ces années au Québec, Bérangère se croit toujours française, fascinée par ce pays et sa culture. Ayant appris à parler à Paris, Bérangère a gardé son accent français, comme cela arrive souvent aux enfants. La tirelire a été reçue en cadeau d'anniversaire en 1947 et Bérangère y déposera sans cesse le moindre sou dans le but de se payer des voyages en France.
La discipline décidée en août se poursuit sans problème : j'écris une page par jour. Parfois deux, mais en autant de séances. Le roman, à la première personne, a peu de dialogues et ils ne comptent que quatre répliques. J'aime bien ces courts échanges jetés là où on ne les attend pas. Tous les chapitres, thématiques, ont dix pages. Je ne suis pas las de cette histoire et Bérangère n'a pas pris de temps à habiter mon âme. Le roman, imposant, ne sera terminé qu'à la fin de 2015, sinon en 2016. Ce voyage, je l'aime toujours, car il est ma vie depuis l'adolescence.
Commentaires
1. jakin le 08-03-2015 à 04:04:42 (site)
Bonjour Mario,
La seule fois ou j'ai écris plus de 600 pages, c'est pour soutenir mon Doctorat d’Anthropologie : sujet "La pêche piroguière en tribu Lébou sur la Petite Côte du Sénégal"...Depuis je me contente seulement de quelques pages sur des sujets Philosophiques pour des travaux le soir en compagnie de libres penseurs....C'est une tâche tout de même enrichissante, car écrire libère souvent son souffre pour ne pas dire son inconscience....
Bonne fin de semaine....
2. MarioMusique le 08-03-2015 à 14:06:50 (site)
Même pour une thèse de doctorat, 600 pages, c'est beaucoup ! Ce roman aura sans doute autour de 400 pages. Merci,
Avez-vous besoin d'un sac ?
Il y a cinq ou six années s'est répandue l'idée que les consommateurs devaient se présenter dans les commerces avec des sacs, semblables à celui illustré ci-haut. Il y avait un discours écolo rococo derrière tout ça et je n'ai rien à fiche de ces propos post-hippies. J'ai accepté de transporter un sac pour la simple raison qu'ils sont solides, que j'ai plus d'un kilomètre à franchir entre chez moi et le supermarché et qu'avec de tels sacs, tout devient plus aisé. Le hic est que certains commerçants, dont ce supermarché, ont commencé à pénaliser la clientèle n'ayant pas de sac en vendant leurs propres sacs à cinq sous pièce, des objets de petit plastique fragile qui ne valent pas un sou. Ceci, c'est de l'impolitesse. Voilà un client qui vient de dépenser soixante dollars et on a le culot de leur vendre des sacs cinq sous.
Vendredi dernier, en revenant de chez ma mère, je n'avais pas mon sac et j'avais quelques denrées à acheter. Un pain tranché, un pot d'olives, une douzaine d'oeufs, une conserve de petits pois, deux tomates et de la crème glacée. Je paie tout ça et la caissière me demande : Avez-vous besoin d'un sac ? Je suis demeuré silencieux avant de répondre posément : "Crois-tu que j'ai besoin d'un sac ? " alors qu'intérieurement, je pensais : "Non, hostie de connne, je n'ai pas besoin d'un sac ! Je vais mettre ces six objets entre mes bras et me lancer dans le froid de l'hiver et marcher un kilomètre en risquant d'échapper mes oeufs dans la neige !"
C'est idiot ! Avez-vous besoin d'un sac ? Quelqu'un m'a raconté que tout ça origine de ces discours écolos entendus mille fois dans cette abomination de télévision. L'écolologie, c'est empêcher les Américains de ravager les forêts québécoises et interdire à leurs fichues usines de lancer des produits chimiques dans l'atmosphère (ce qui se fait toujours, croyez-moi.) Pas vendre cinq sous un sac qui n'en vaut pas un sou prétexte que je vais ainsi sauver un arbre !
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1. jakin le 07-03-2015 à 04:08:23 (site)
Bonjour Mario, la, ce n'est pas un coup de coeur mais bien un coup de gueule ! j'adore....Chez moi dans le midi de la France, on nomme se genre d'objet un "Pasqua". Parce que Charles Pasqua (ancien ministre de l'intérieur) était le président du SAC (service d'action civile) une association du genre "Cagoule"....Bonne fin de semaine....
Cigarette
Je fume depuis l'âge de 16 ans. Ma première marque n'existe plus - et n'a pas été longtemps sur le marché : Wedgewood ! Puis, l'époque aidant, j'ai eu ma période Gitanes, mais c'était par snobisme culturel. L'Export-A est apparue dans ma vie pour ne plus me quitter. Les meilleures cigarettes sont celles suivant les repas, puis celle que j'allume quand je m'apprête à écrire un passage de roman. Celles de l'attente sont aussi sympathiques, comme celles accompagnant une lecture, un moment exaltant. Je les roule depuis le début des années 1980. D'ailleurs, je le fais à une vitesse folle et sans jamais rater mon coup. J'aime l'odeur, le geste et l'ensemble du rituel fait partie de ma personnalité, de ma culture. Pour des raisons économiques, j'ai ajoute la vapote à mes goûts, depuis l'automne 2014. C'est agréable aussi.
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1. nyxie le 06-03-2015 à 02:10:50 (site)
Pour toi cette chanson !!
http://youtu.be/ZuP6XlWLJCI
Merci pour ton passage, dommage que tu saches compter !!
Bonne journée @++
Malheur ! On veut me publier...
Mercredi matin le 4 mars, vers 10.30 : coup de fil surpise : une maison d'éditions désire publier un de mes romans. Sans me dire de quoi il s'agit, cet éditeur parle déjà de me faire parvenir un contrat et d'une mise en marché pour l'automne 2015. Poliment, je lui avoue que j'ai entrepris 18 démarches en décembre dernier et que je ne me souviens plus de ce que je lui ai envoyé. Lui-même ne semble pas se souvenir du titre et dit "Parenthèse". Alors, je fronce les sourcils et me jette dans mon document de ces envois, réalisant que le roman envoyé portait le titre de Manon et que ce manuscrit a été refusé dès janvier. Alors, j'allume et lui dit : "Vous voulez parler de L'Amour entre parenthèses ?" En effet... Le hic est que ce livre a été publié en 2013 et est toujours sur le marché, et que mon envoi chez lui date de 2012. Bref, il a mis trois années avant de me répondre. Il semblait déçu, mais sans doute pas autant que moi. Alors, je lui ai dit que je lui ferais parvenir, par courriel, cinq manuscrits avec leurs résumés. Je vais m'en souvenir longtemps de ma joie d'un instant...
Spectacle : Zachary Richard
De façon générale, j'ai vu énormément de spectacles dans la seconde partie des années 1970, car le prix d'entrée était abordable. Cependant, peu de ces spectacles sont devenus un disque en public. C'est le cas avec le microsillon illustré ci-haut, par Zachary Richard. L'Américain était encore dans sa phase cajun, avec accordéon. Je me souviens surtout que Zach et son groupe bougeaient beaucoup, que les approches étaient très variées : il pouvait chanter le blues puis, à la pièce suivante, c'était de la musique de cow-boy, puis du rock, de la soul, du folklore. Électrisant ! Un bon souvenir. Voici donc Mama Rosin, tel que je l'ai entendu, en 1980.
Le cinéma muet
Une des passions de ma vie : le cinéma muet, particulièrement celui des années 1920. Pourquoi ? Les cinéastes de ce temps avaient atteint un sommet dans l'art d'évoquer, de suggérer à l'aide d'images. Pour la même raison, certains comédiens étaient extraordinaires pour communiquer des humeurs et sentiments avec leurs gestes et leurs visages, telle la comédienne Lillian Gish. Charlie Chaplin était aussi un maître dans cet art ! Des films comme la première version de Ben Hur sont tout simplement admirables. Bien sûr, le triumvirat des comiques était fantastique et gardera à jamais mon affection : Chaplin, Keaton, mais aussi l'attachant Harold Lloyd. Que penser des deux films allemands avec Louise Brooks, du cinéma soviétique d'Eisenstein ? Du grand art ! Chaque année, je pige dans ma collection de films muets et j'en regarde plusieurs avec une joie toujours fraîche, même si je les connais par coeur depuis des années.
Photo ci-haut : Harold Lloyd et Jobyna Ralston, qui avait des yeux superbes !
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1. cityse le 06-04-2015 à 10:03:53 (site)
Bonsoir Mario , ne soit pas surpris je suis lili ( Biquette ) j'avais un blog qui dormait et je l'ai remis a l'ordre du jour , histoire de changer un peu de registre d'avec Biquette ( et de rigoler un peu )...Pour ce qui est des films je suis une passionnée de Charly Chaplin , j'ai acheté toute sa collection et j'espére les avoir tous j'adore , j'ai suis trés cinéphile , j'en ai pas mal chez moi , je suis trés attachée aux vieux films bien que n'étant pas une connaisseuse comme toi mais je m'y emploie ,j'aime aussi les films muets, quand j'etais gosse dans le cinéma de mon quartier un type jouait du piano en passant des vieux saucissons ( on peut dire ça comme ça ) qui étaient tres datés mais le directeur voulait faire plaisir aux anciens et l'on appreçiait les muets, ma grand mére était folle heureuse d'y aller , de supers souvenir de ma vie de gamine , je vois que tu aimes aussi , alors merci pour les titres , passe une belle soirée de ce lundi de ¨Pâques a++++lILI
2. MarioMusique le 06-04-2015 à 18:06:48 (site)
Il y a le blogue sur le cinéma, bien qu'il soit un peu moins actif que sur les autres. Il s'agit de fouiller un peu. Je ne sais pas combien il y a d'artlcles là-dessus, mais sans doute plus de 500.
Merci,
S'enrichir en devenant romancier ?
Chaque année, je reçois une somme de la Commission du droit de prêt public, organisme du gouvernement canadien. Il s’agit de sommes compensatoires pour mes livres présents dans les bibliothèques publiques du Québec. Un échantillionage est fait dans sept bibliothèques de villes importantes et si mes livres s’y trouvent, je reçois de l’argent. Le cas contraire, je n’en ai pas. C’est plus enrichissant que les ventes de livres! Plus il y a de volumes, plus le total devient intéressant. Cependant, depuis 2010, les sommes accordées aux livres publiés il y a cinq années et plus ont diminué. Les livres qui n’existent plus dans le catalogue des maisons d’éditions peuvent donc me rapporter de l’argent. Cependant, je me dois d’être cynique : je n’ai jamais pu profiter de cet avoir, car, en premier lieu, le Ministère de l’Éducation enlevait la somme des mes prêts et bourses étudiants. En second lieu, c’est Emploi-Québec qui me l’enlève. Lors des salons du livre du Québec, une question qu’on me posait souvent : « Monsieur, vivez-vous de votre plume? » Ma réponse était toujours la même : « Je vis très bien de ma plume, madame. Pendant quatre mois. » À une autre occasion, j’avais répondu que mon souhait le plus cher était d’atteindre le seuil de la pauvreté avec la vente de mes romans. Chose qui n’est jamais arrivée, d’ailleurs.
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1. nyxie le 03-03-2015 à 03:23:38 (site)
J'ai une idée ! il existe bien au Canada des émissions littéraires où tu peux faire la promo de tes oeuvres, en voilà un bon filon pour assurer le succès ....
Je te souhaite une bonne journée, chez nous elle sera ensoleillée..
2. MarioB le 03-03-2015 à 04:54:12 (site)
Holà, amie ! Ça ne fonctionne pas du tout ainsi ! Je n'ai jamais eu d'éditeur pouvant donner des pots-de-vin à des producteurs télé, et, de toutes façons, la télé ne fait la promotion que de ce qui est connu et rien d'autre. Dans le cas du Québec, c'est dix auteur et pas un de plus.
Oiseaux d'hiver
Ce midi, il y avait une réunion d'oiseaux sur mon balcon. Je ne connais rien aux oiseaux, mais je me sens toujours étonné de voir certains de ces volatiles passer l'hiver au Québec. Je me souviens de cette fois où j'avais entendu une bande d'oiseaux gueuler très fort, sautant de branche en branche sur un arbre squelettique. Comment arrivent-ils à se nourir ? Pas d'insectes, quelques brindilles d'arbres gardant leur végétation ? Des réserves, peut-être ? 'Sais pas. J'imagine que ces petites bêtes ont le métabolisme voulu pour affronter le froid.
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1. gegedu28 le 28-02-2015 à 15:45:58 (site)
Bonjour Mario,
et oui je me pose la même question que toi, comment font-ils nos petits oiseaux pour affronter l'hiver, ils ont la peau dure !!
En tout cas, celui de la photo est très joli !
A bientôt.
Gégédu28
2. MarioMusique le 28-02-2015 à 16:31:04 (site)
Merci bien !
3. Nikole-Krop le 28-02-2015 à 18:05:29 (site)
Mes deux sons préférés : la mer et les oiseaux.
En fait, j'en parle peu, mais les oiseaux me fascinent. De plus en plus ...
4. MarioMusique le 28-02-2015 à 18:27:31 (site)
Vrai ? Tu devrais en photogaphier, alors. En effet, ce sont des petites bêtes intéressantes.
5. Nikole-Krop le 01-03-2015 à 03:54:08 (site)
J'en ai "postés" ici ou là ... mais j'ai du mal à les photographier -appareil et manque de savoir-faire- correctement, la plupart du temps.
(Rien à voir mais je pense à cet instant que chez toi, particulièrement depuis Vefblog et n'ayant plus de "trace" de ce que j'y laisse, il se peut que je ne réagisse pas à ce que tu écris, si ce que tu réponds alors est une question ou appelle une réaction ... étonne-t-en ... ça veut dire que ça m'a échappé ... et non que ça reste lettre morte par désintérêt ou impolitesse ... je pense que tu te doutais bien de cela mais préciser les choses parfois n'est pas mauvais)
6. MarioMusique le 01-03-2015 à 14:23:13 (site)
Nikole, ce que tu racontes, c'est un des problèmes ici. Il y a un lien, dans la colonne de droite, qui dit "Derniers messages" et c'est pour moi seul. Par contre, les gens à qui je réponds ne le savent pas. C'est peut-être pourquoi ils ne regardent que le premier article de la première page, mais, au moins, il y a des réactions chaque jour, alors que Ekla, hein...
7. nyxie le 03-03-2015 à 03:34:27 (site)
J'habite un parc où multitude de petits oiseaux viennent s'y réfugier, toutes mes amies ont installé dans leur jardin des endroits à l'abri des regards où ils peuvent venir se nourrir avec des boules de graisse vendues à cet effet.
C'est trop mignon à regarder ...
8. MarioB le 03-03-2015 à 04:55:35 (site)
Quand il fait - 25, c'est un peu plus inquiétant à regarder,,,
Patin
Un article en pensant aux deux aimables personnes qui ont laissé un commentaire, à l'article suivant. Encore un peu d'hiver dans ma ville de Trois-Rivières, avec cette magnifique photographie.
Il s'agit d'un lieu nommé le Parc portuaire, qui, en été, accueille des terrasses, des cafés, où se déroulent des petits spectacles, mais, avant tout, une belle promenade pour les flâneurs, avec vue sur le fleuve Saint-Laurent.
L'hiver venu, la promenade est arrosée et entretenue et devient une patinoire. Tout au fond : le pont Laviolette, le plus long à franchir le Saint-Laurent sur le territoire du Québec.
Votre humble serviteur et le patin ? Tardivement, dans mon cas : autour de mes douze ans. Il le fallait, pour ma carrière rêvée au hockey ! Je n'ai plus de patins depuis des années, mais je suis certain que si j'en chaussais, je retrouverais la touche magique. C'est comme la bicyclette : ça ne se perd pas.
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1. Nikole-Krop le 27-02-2015 à 03:33:07 (site)
La photo est en effet, merveilleuse.
Quand je pense aux souvenirs de neige de mon enfance, deux surnagent, une de froid festif et de bagarres de boules de neige près de la porte noire d'entrée (contrastes, je m'en souviens, du noir et du blanc) et l'hiver 63, avec cette vision d'une grosse épaisseur de glace sur la dauphine des parents. L'hiver résumé en deux images brillantes d'émotion ! :-)
2. MarioB le 27-02-2015 à 04:05:37 (site)
La photo provient d'un CD de plus de 1000 photos de la ville et de la région, vendu dans un bureau touristique. C'était pour trouver une photo pour la page couverture de mon roman Des trésors pour Marie-Lou, où la photo est créditée au nom de ce bureau touristique ! On me l'avait donné.
J'aurais bien du mal à trouver un seul ou deux souvenirs d'hiver. J'en ai tant et tant ! Merci pour les tiens.
Commentaires
1. nyxie le 09-03-2015 à 02:52:55 (site)
Bon anniversaire à Salomé, elle a toutes les qualités.. comme une femme !
Je te souhaite une bonne semaine.
2. MarioB le 09-03-2015 à 02:57:53 (site)
Je lui ferai part des souhaits.
Miaou.
3. Nikole-Krop le 09-03-2015 à 03:26:33 (site)
Miaw-miaaaou, Salomé !
4. MarioMusique le 09-03-2015 à 03:29:17 (site)
Nikole sait miauler ? Diantre !