Est-ce que vous sifflez ? C'est mon cas, mais je suis un siffleur musical. Siffler en enfouissant deux doigts dans la bouche, je ne suis pas capable. Je ne siffle pas pour faire du tintamarre, comme je vois des personnes le faire dans des lieux publics. Je trouve ça impoli. Je siffle des chansons, en marchant, en prenant mon bain et pour tout ou rien. J'aime siffler des mélodies que personne ne siffle. 21st Century Schizoid Man de King Crimson, par exemple...
Ce lieu, avec une vue magnifique sur le fleuve Saint-Laurent, portait le nom de Terrasse Turcotte depuis le milieu du 19e siècle, quand, lors de profondes rénovations, circa 1985, ce joli vocable est disparu au profit d'une expression aussi anonyme que "Parc portuaire". Rendez-vous des flâneurs de Trois-Rivières au cours de chaque été, à condition de répondre aux exigences, car, à l'entrée, il y a pas moins de dix signes d'interdictions, question que chacun se sent bienvenue... Ne doutons pas que la scène ici présente était destinée à des spectacles pour enfants.
1. nyxie le 07-04-2015 à 03:17:59 (site)
C'est autrement plus joli que ma base de loisirs ! le Saint-Laurent est tellement plus majestueux que notre Seine toute riquiqui ! nous n'avons pas les mêmes valeurs (humour)...
2. MarioB le 07-04-2015 à 11:14:29 (site)
À quelques km à l'ouest de ma ville, le Saint-Laurent s'élargit tant et tant qu'on ne peut voir sa rive opposée.
Mais oui, mais oui... Le lait de jadis goûtait la même chose qu'aujourd'hui. Sauf qu'il nous arrivait non pas dans des contenants de plastique ou de carton, mais dans des vraies bouteilles. Si, si : en verre. La différence ? Plus froid et pétillant ! La laitier, comme l'homme de la photographie, était un monsieur adoré par les enfants. Il portait une belle casquette et répondait aux appels de ma mère, quand elle déposait un petit carton dans une fênêtre de la maison pour signifier qu'elle avait besoin de lait. Par temps froid, il se formait une petite croûte de lait gelé sur le dessus de la bouteille et maman me permettait de la croquer. Divin !
À l'école, il y avait une journée consacrée au lait. Les enfants descendaient alors vers la salle de récréation et on nous remettait une petite bouteille avec une paille, que nous buvions en tentant d'écouter l'enseignante, qui devait savoir que le joli breuvage blanc nous empêchait de nous concentrer comme il faut.
1. Nikole-Krop le 01-04-2015 à 02:46:10 (site)
Nous allions chercher le lait à la ferme. Je me souviens encore du nom du fermier : monsieur Farochon. Je me rappelle l'odeur forte des vaches d'alors, et curieusement, peut-être parce que ce jour-là revêtait une atmosphère particulière, dans mes images ça se passe l'hiver, à la nuit tombée, dans un décor vert très sombre.
2. MarioMusique le 01-04-2015 à 02:51:33 (site)
Tiens... Tiens... Je n'ai jamais bu de "lait de ferme".
Merci !
Il m'est arrivé à quelques occasions de recevoir un message d'une personne scandalisée parce que je ne crédite pas ceci ou cela sur mes blogues de photographies anciennes. Il est alors question de "Propriété intellectuelle" et du "Droit d'auteur". Deux monstres pleins de bave qui servent d'épouvantails et utilisés par des gens qui ne touchent pas des droits d'auteur et qui n'y connaissent rien. Une autre horreur du "Fais pas ça, fais pas ça" de la rectitude politique. Eh non, je n'ai pas demandé à l'auteur du dessin ci-haut d'utiliser son "Oeuvre".
Les blogues et les sites Internet sont un passe-temps pour moi, comme pour la majorité des gens. Vous croyez qu'on a du temps à perdre à se casser la tête à faire des démarches pour utiliser une photo ou un dessin glané sur Internet et qui est accessible à tout le monde ? Ce ne serait plus un loisir, mais un boulot. Que les bien-pensants fichent la paix à des gens qui veulent s'amuser avec des blogues, lesquels sont visités par très peu de personnes.
Au fait, les photographies sont en majorité vendues par leur auteur. À une revue, un journal, etc. Il n'y a pas de droit d'auteur. Pour la propriété intellectuelle, reste à savoir si ces gens ont un certificat. Dans le cas des photos que j'utilise souvent, elles sont toutes vieilles de plus de 50 années et sont ainsi du domaine public. Quant à la musique (tout comme les livres), ce qui est qualifié de droit d'auteur est un pourcentage du prix de vente accordé au créateur de la chanson ou du livre. Si vous achetez un disque ou un livre, vous avez versé un droit d'auteur au créateur. Cela étant fait, l'objet vous appartient et n'a plus rien à voir avec le créateur. Vous en disposez comme bon vous semble.
Les blogues ne sont pas des recherches universitaires, avec notes de bas de page et bibliographies. Qu'un loisir, tout simplement.
1. louvedesneiges le 06-04-2015 à 06:00:13 (site)
Dans le pire des cas vaut mieux ne pas lire ces commentaires et laisser parler.
Ce coup-là on me la fait on a crié au plagiat et j'ai laissé parler et continuer de bloguer mais franchement ça a failli m'en dégouter.
2. louvedesneiges le 06-04-2015 à 06:00:40 (site)
Merci pour le passage sur mon blog.
3. MarioMusique le 06-04-2015 à 18:05:09 (site)
Tu as bien raison. Merci,
Il me reste une cinquantaine de pages à lire dans ce bouquin de 1997 de l'historien Jonathan P. Vance : Mourir en héros, Mémoire et mythe de la Première Guerre mondiale. Type d'ouvrage qui, après dix pages, fait s'exclamer : "Ouaip ! Ça va être bon !"
L'auteur a comme but de cerner différentes manifestations publiques relatives à la guerre 14-18, cela pendant le conflit, puis jusqu'aux années 1930, au Canada anglais seulement. Le Québec est écarté de sa démarche et je comprends très bien pourquoi : nous étions contre la guerre et ils étaient pour.
Ces manifestations couvrent un grand champ d'activités : peinture, sculpture (Les "Monuments aux braves") musique, théâtre, poésie, romans, récits témoignages, commémorations, journalisme, etc. Tous ces gens donnaient de la guerre une version idéalisée de propagande positive, basée sur des réalités, ou de pures inventions idéologiques. Parmi ces clichés : mort en brave pour sa patrie, mission bénie par Dieu, le champ d'honneur, etc. Je crois bien que tous les pays occidentaux ont présenté la guerre de cette façon. Tissus de mensonges et de faussetés, dont plusieurs pathétiques, comme ce passage où des romanciers ou des anciens soldats écrivent que les soldats étaient souvent saouls, aussi cruels que les Allemands et que la guerre n'avait rien d'une croisade sainte. Eh bien, ces bonnes gens, désireux de présenter la réalité, ont été mal reçus, parce que leurs récits n'avaient rien d'héroïques.
J'apprécie aussi la thèse de l'auteur à l'effet que les discours entourant la guerre 14-18 étaient dans la même veine que ceux du 19e siècle. Par exemple, sur les illustrations ou peintures, on ne voyait jamais de chars d'assaut, de mécaniques, mais bien des soldats à chevaux. L'aviateur était un "Chevalier du ciel."
Un récit captivant, parce que l'auteur va droit au but et ne se perd pas en aspects techniques, comme cela arrive souvent dans des livres d'histoire.
Mon père était commerçant. Alors, au cours de mon adolescence, j'avais un emploi d'été assuré. J'étais homme d'entrepôt, ce qui faisait beaucoup rigoler les costauds camionneurs quand ils voyaient le maigrichon que j'étais. Mon père aurait voulu que je devienne vendeur, mais je n'ai jamais désiré vivre sa vie.
Mon premier véritable emploi - car chez mon père, ça ne comptait pas - a été pour les grands magasins Woolco, en 1976, au centre commercial de Trois-Rivières-Ouest. Emploi saisonnier pour deux mois et s'il y avait une ouverture ailleurs dans la boîte à la fin de ce délai, je serais considéré. Il y avait (et il y a toujours) un coin, en plein air, où les gens peuvent acheter de la terre, des engrais, des fleurs, des plantes, etc. Or, je ne connaissais rien à ces bestioles, qui me faisaient éternuer. Je devais donner un coup de main à l'homme responsable, vendre un peu. J'essayais surtout d'aider et fuyais la clientèle. Dès le jour 1, je me suis mis à éternuer. Une surprise allait surgir : beaucoup de pluie. Or, j'ai alors réalisé que le stationnement du centre commercial était en pente. Et où s'écoulait cette eau ? Vous avez deviné. Non seulement j'ai éternué pendant deux mois, mais j'ai passé au moins trois semaines les pieds dans l'humidité, à balayer cette eau de notre coin. Au bout de deux mois : pas d'ouverture. Je suis retourné à l'entrepôt du magasin de papa...
Un secret : je n'ai jamais aimé aucun de mes emplois. Aucun. Les voici (hors les deux nommés dans l'article) : vendeur, touche-à-tout pour trois stations de radio, aide pour une entreprise de portes et fenêtres, entretien ménager, assistant de recherche en histoire à mon université. Écrire des romans ? Ça n'a jamais été un travail.
J'ai souvent rencontré des gens presque scandalisés parce que je n'ai ni téléviseur ni appareil de radio à la maison, parce que je n'achète pas de journaux et ne consulte pas leur équivalent internet. "Comment fais-tu pour être au courant ?" Au courant de quoi ? Pourquoi ? Face à mes réponses, ils demeurent davantage confus et me regardent comme si j'étais un dingue. Pourquoi, au fait ?
Parce que je n'y crois pas. Les bulletins de déformation sont... pardon : les bulletins d'information font partie du cirque médiatique. Leur objectif consiste à servir des événements sociaux en capsules, sans jamais aller en profondeur. Le seul bulletin que j'accepterais durerait dix heures, car des gens de divers milieux auraient le temps de peser le pour et le contre, de réfléchir. Je pense aussi que ces informations sont au service de la propagande et d'un certain endoctrinement. M'être débarrassé de ces horreurs m'a fait constater jusqu'à quel point la majorité des gens n'ont d'autres opinions que celles entendues à la télé et radio, lues dans les journaux. La liberté s'acquiert quand les pensées, opinions, réflexions sont les fruits d'un cheminement intime, non entaché par la bêtise médiatique et son clinquant vulgaire.
Alors non, je n'ai pas vu les gratte-ciels de New York s'effondrer, je n'entends jamais parler des nouvelles épidémies à la mode, ni vu les tornades américaines. Je ne connais pas les noms des premiers ministres du Québec et du Canada. Je sais que j'ai des livres, des disques, ma chatte, mon café et des romans à écrire. C'est tout ce dont j'ai besoin pour demeurer libre.
1. Nikole-Krop le 28-03-2015 à 17:10:18 (site)
Et tu ne votes pas, non plus ?
3. nyxie le 01-04-2015 à 11:37:07 (site)
Tu vis en marge de la société, pourquoi pas ! elle est tellement laide dans certains pays qu'il vaut mieux parfois l'ignorer, j'aime bien les gens qui ne veulent pas faire comme tout le monde, ne pas être mêlé au troupeau est un art...
J'ai des problèmes avec mon blog, je n'arrive pas à voter pour élire le blog de la semaine ! on me signale que ma messagerie électronique n'est pas installée ! j'y comprends rien et ça m'énerve, je bidouille depuis ce matin en vain... alors j'abandonne ...
Bonne soirée Mario
.
4. MarioBergeron le 01-04-2015 à 17:12:49 (site)
Tiens tiens, ça a fait la même chose chez moi. C'est sans doute dû à la plateforme.
5. sandie le 01-04-2015 à 18:50:25 (site)
Tu as fait le choix d'être déconnecté de tout ...Au vu des news ces temps ci, je peux le comprendre ...Neanmoins tu as un blog , et tu l'alimentes, et par les commentaires que tu as tu n'es pas vraiment un ermite...Juste ce qu'il faut pour être tranquille et informé.. C 'est en tout cas un point de vue perso...
Bien amicalement!
sandie
6. MarioB le 01-04-2015 à 19:08:42 (site)
Je n'ai pas un blogue, mais quatre ! C'est un passe-temps et je peux découvrir des choses de bon goût, un peu comme chez toi.
Ce que l'on peut apprendre par la voie de la... voix publique, est une version de ce qui est colporté par les médias. J'apprends ainsi des choses, sans le vouloir, mais je n'approfondis jamais.
La bande dessinée américaine n'arrive pas à la cheville des productions européennes. Cependant, il y a Charlie Brown et les Peanuts, en apparence très simple que j'apprécie énormément. Des débuts jusqu'à la fin, Charles Schulz dessinait pour les journaux, avec des bandes de quatre cases. C'est tout l'espace dont il disposait pour raconter une histoire avec son introduction, son noeud, sa conclusion. Au fil des années, l'homme y est arrivé avec une rare maîtrise.
Un autre point fort de cette BD : Les personnages ont tous des caractères très définis. Lucy qui gueule sans cesse, Linus l'intello qui ne peut se priver de sa couverture, Schroeder qui joue Beethoven sur un piano jouet, Sally la petite soeur émotive, Pepperment Patty la cruche à l'école, sans oublier Snoopy, le chien de BD le plus cinglé de tous les temps. Charlie Brown représente l'aspect normal de ce groupe de bizarres, malchanceux et complexé, gérant de la pire équipe de baseball de tous les temps.
Enfin, j'apprécie que l'on ne voit jamais les adultes qui sont pourtant nommés, tout comme j'aime le mystère de la petite fille rousse dont Charlie est amoureux et qu'on ne voit pas non plus. La seule erreur de Schulz a été la création du personnage Spike, frère de Snoopy, trop anecdotique.
1. jakin le 26-03-2015 à 11:39:08 (site)
Bonsoir Mario, ce que j'aime chez Charlie Brown, ce sont les "peanuts", surtout lorsqu’elles sont bien grillées....Bonne fin de soirée....
Les âmes sensibles, s'abstenir. Depuis près d'une dizaine de jours, j'ai un problème de circulation sanguine du côté gauche de ma douce tête, s'attaquant au front, à mon oeil, à mon oreille. Ça ne fait pas mal, c'est tout simplement agaçant, surtout lorsque je me mets au lit et que je me rends nettement compte d'une coulée intérieure. Le tout avait cessé, avant de reprendre de façon plus intense samedi dernier. Les éclats ont provoqué des sorties, si bien que j'ai des boutons rouges et mauves de différentes dimensions, dont trois plutôt gros dans le front. J'en ai aussi des minuscules, puis un très laid (verdâtre dégueu) au-dessus de ma paupière, sans oublier un moyen sur le nez. Je ressemble à une carte géographique.
Mardi, j'avais des courses au centre-ville. Je croise dans l'autobus un homme que je connais et qui me regarde comme un monstre. "Hostie, quessé qu't'as là, Mario ?" Résumé de la situation, avec, de sa part, la grande demande : pourquoi je ne me suis pas rendu à l'hôpital. Je lui ai répondu que je suis une personne résistante, que ça ne fait pas très mal et que les cellules connaissent leur boulot. Premier arrêt, à Emploi-Québec, pour remettre des documents. La femme du guichet m'a regardé tout autant effrayée, posant les mêmes questions. Prochaine étape : la bibliothèque. Ma cousine Nicole a presque lancé un cri d'alarme, avec soupirs d'effroi. Ces trois fois ont suffi pour me rendre compte que pour l'oeil public, j'étais un machin à ne pas montrer. Alors, j'ai sorti ma tuque d'hiver de ma poche, qui permettait de cacher les plus gros boutons, ceux du front.
Une telle chose m'était déjà arrivé, il y a une quinzaine d'années et j'ai très bien survécu.
1. Nikole-Krop le 25-03-2015 à 03:12:03 (site)
Mais enfin Mario, tu te rends bien compte que ce n'est pas "normal" quand même ... Résistant, peut-être, mais tu es léger avec ta santé. Courageux, c'est admirable, téméraire, chuis pas sûre ...
Je te souhaite cela dit, toubib ou ps, de vite retrouver un visage ... humain et une belle santé.
2. MarioB le 25-03-2015 à 03:59:13 (site)
Ah, ce n'est pas joli à voir. J'ai oublié d'écrire que les témoins ont surtout pensé que j'étais tombé tête première sur le ciment.
Ça va un peu mieux. Le pire, ça a été samedi, parce que les boutons ont éclaté sur mes paupières et cela rapetissait mon champ de vision. Ce n'était pas sur l'oeil, mais bien les paupières.
Je suis surtout inquiet pour la visite chez ma mère, vendredi. Ce serait mieux que je porte ma casquette de baseball pour camoufler ce qui est trop visible, sinon, elle va se faire du souci.
Je pourrais te raconter douze trucs un peu fous qui me sont déjà arrivés...
Merci de passer chez Nyxie. Tu sais, c'est une femme autour de 85-86 ans et c'est admirable de la voir faire tout ceci.
3. jakin le 25-03-2015 à 04:35:05 (site)
Bonjour Mario,
Je compatis !
Pour te rassurer lis les travaux d'Erving Goffman (école de Chicago). Théorie sur la représentation de Soi....Apparaître - Paraître - Être et disparaître !...
Bon rétablissement,
4. MarioMusique le 25-03-2015 à 12:37:26 (site)
Merci !
Quand j'étais petit, je demeurais tout près du parc des Chenaux. Il n'y avait que le boulevard à traverser. Quelle chance, pour un enfant, d'avoir des balançoires, une glissoire et un tourniquet à sa portée. Je ne m'en privais pas, même si ma mère m'imposait un détour vers les feux de la circulation à deux rues de là, m'interdisant de traverser le boulevard loin de la sécurité Jaune-Verte-Rouge. Mon chien Mousse n'en avait cure et aussitôt qu'il échappait à notre surveillance, il se lançait vers le parc et plongeait dans l'étang, ne voulant pas en sortir. Il nageait sans cesse tout autour de l'îlot. Je devais me déchausser et partir à sa poursuite. Je revenais à la maison aussi trempé que le cabot. L'hiver, l'étang gelé devenait notre amphithéâtre pour le hockey, ou tout simplement pour le plaisir de patiner (C'est d'ailleurs toujours le cas de nos jours.) Il n'y avait pas de cabine pour enfiler nos patins, si bien que les gens le faisaient en s'assoyant sur les briques ceinturant l'îlot. Quand on remettait nos bottes, une heure plus tard, elles étaient très froides !
Au cours de mon adolescence, je m'adonnais à un autre loisir que les tourniquets avec ma blonde Danielle... Le décor s'y prêtait bien ! Il y avait aussi un jeu de mini-putt et je m'en suis tant servi que j'aurais pu devenir champion, n'eut été l'étape numéro 16, celle qu'on surnommais "Le monstre." Volant de mes propres ailes, je me suis éloigné du parc Des Chenaux, jusqu'à un retour dans mon quartier natal, en 1985. Je me rendais au parc pour flâner et comme le mini-putt était toujours là... Tardivement, j'ai écrit des bouts de roman installé sur un banc du parc, habitude que j'ai gardée dans mon nouveau quartier. Un jour, je retournerai au parc Des Chenaux, garderai silence pour ainsi saluer mon enfance et ma jeunesse. La photo ci-haut vous présente le parc Des Chenaux.
2. MarioB le 25-03-2015 à 17:16:57 (site)
Ah bon... Je ne savais pas... Rien à dire sur l'article, hmmm ?
Commentaires
1. Nikole-krop le 03-04-2015 à 05:03:48 (site)
Fou-rire ... déjà que je ne sais pas siffler, à peine (et la version doigts dans la bouche pas du tout) ... mais alors la chanson que tu cites est carrément insifflable ! :-))))
2. jakin le 03-04-2015 à 11:34:24 (site)
Bonsoir Mario,
A choisir moi je siffle de temps en temps quelques Pastis 51 avec de l'eau fraiche pour me donner du baume au coeur !
3. MarioB le 03-04-2015 à 13:32:27 (site)
Rigolo, Jakin !
Oui, Nikole, ça se siffle, King Crimson ! Ah ! Ah !
4. nyxie le 07-04-2015 à 03:24:13 (site)
oui ! lorsque j'étais jeune, influencée par "siffler en travaillanr" des sept nains de Blanche Neige, maintenant plus rien, comme le reste !!..
5. MarioB le 07-04-2015 à 11:12:09 (site)
Dommage !
6. lulette le 24-04-2015 à 07:04:38 (site)
Je siffle Ursule le Chien, maladroitement, c'est tout
7. MarioBergeron le 24-04-2015 à 12:26:16 (site)
Ah ! Je ne siffle pas Salomé. Sans doute réservé aux chiens.