De passage au local d'aide alimentaire, je note, à l'extérieur, une machine distributrice de Pepsi. J'ai vite vu ce qui suit et que je vous reproduis texto :
Danger. Ne pas frapper ou bousculer la distributrice.
Frapper ou bousculer la distributrice peut-être la cause de blessures graves pouvant même entraîner la mort.
AAAAAAAGGGGR! Une machine à Pepsi meurtrière! Au secours! Non mais, pourquoi une telle stupîdité ? Réponse facile : les médias et les politiquement corrects font tout pour que les gens vivent sans cesse dans la peur. Interdiction de ceci de cela, danger pour cela et ceci. Même le catholicisme intransigeant n'allait pas aussi loin dans la manipulation des personnes.
Au fait, en m'éloignant, la machine m'a regardé et a grogné. AAAAAA ! AAAAAA !
Mardi soir, je me suis rendu aux terrains de baseball pour la première fois cette année. Lors des occasions précédentes, il y avait trop de vent et de risque de pluie.
À ces niveaux (enfants et jeunes adolescents) il n'y a pas d'autre public que les parents devant mener leurs jeunes vers ces lieux. Et je dois dire que les responsables de tout ceci ne font rien pour intéresser des gens n'ayant pas de lien de parenté avec les joueurs.
Pour ma part, je ne m'installe plus dans une estrade précise, mais je me promène d'une place à l'autre.
Sur un de ces terrains, il y avait une joute entre gamins autour de 8-9 ans. Garçons et quelques filles fiers de leur uniforme, de faire partie d'une équipe, d'apprendre, de se faire de nouveaux amis. Bien sûr, les spectacteurs sont des mamans et papas, qui s'amusent autant.
Sauf que j'ai noté un homme, sans doute au début de la trentaine, qui ne regardait pas le jeu, qui ne parlait pas à ses voisins et qui n'encourageait pas son fiston. Il avait les yeux rivés à sa tablette. Même suite à un bon coup, quand les gens clamaient Ouais!, cet homme ne quittait pas sa béquille des yeux. J'ai trouvé ça stupide.
J'imagine qu'à la fin de la partie, quand le p'tit va demander à son père s'il a noté son bon coup, l'autre va répondre 'Oui, bien sûr.'
J'ai commencé ma ronde à ce terrain, passé à un autre, puis au troisième, avant d'y retourner et cet homme avait encore les yeux soudés à sa tablette. L'indifférence face aux enfants et face aux autres personnes autour de lui. Une île déserte et aride.
Au niveau bantam (13-14 ans), c'est plus sérieux, car tous ces jeunes font partie de ce truc scolaire nommé 'sports-études'. Il y a peu de filles, mais j'en ai noté une très étonnante. Elle jouait de façon nettement supérieure à celle des garçons. Elle a cogné un très solide double, n'a commis aucune erreur en défensive, a soutiré un but sur balles, a volé le deuxième but. Les autres années, il y avait aussi des filles et je ne sais pas si c'est parce que ces demoiselles savent qu'elles sont des exceptions, mais il y a un désir de se distinguer supérieur à celui de leurs coéquipiers.
1. jakin le 20-06-2019 à 12:45:42 (site)
C'est triste, le monde aujourd'hui ne vit que par la technologie...c'est la même chose au restaurant...chacun devant son écran....
2. MarioB le 20-06-2019 à 13:40:42 (site)
Tous ces gens présents (une trentaine) parlaient entre eux, encouragaient les enfants, sauf lui.
Imagine si l'enfant s'est rendu compte que son père se fichait de ce qu'il faisait.
Brrrr...
3. Florentin le 21-06-2019 à 11:37:37 (site)
Et le paradoxe, c'est que ces addicts se servent de leur machine pour communiquer. Etonnant, non ?
4. MarioMusique le 21-06-2019 à 12:52:55 (site)
En effet !
Merci.
5. Nikole-Krop le 23-06-2019 à 18:13:00 (site)
J'enrage et suis affligée par ce monde de "jouets" électroniques qui assèchent le cœur des humains.
6. MarioMusique le 23-06-2019 à 18:42:36 (site)
Surtout que c'est facile de présumer que cet homme était là - comme les autres - pour son enfant.
Quand je n'ai pas le goût de lire, je lis une autobiographie.
Les Québécois qui atteignent les ligues majeures de baseball sont très rares. Ceux qui s'y maintiennent encore plus rares : pas même une douzaine depuis le 19e siècle. Non seulement le lanceur Éric Gagné fut un de ceux-là, mais il a établi un record imbattable, connu une extrême popularité, élu le meilleur lanceur de la Ligue nationale et, bien sûr, on lui a accordé un salaire en conséquence.
Gagné était un lanceur de relève, appelé à terminer les rencontres et à empêcher l'adversaire de marquer des points, cela quand le pointage était serré. Son record : 84 occasions de suite avec succès (30 de plus que l'ancien record). Les partisans des Dodgers de Los Angeles l'acclamaient sans cesse et tout le monde en Amérique l'admirait. Il faut dire que ce colosse était intimidant et spectaculaire à voir à l'oeuvre.
Pourtant, à ses débuts avec les Dodgers, c'était un lanceur moyen. Converti en releveur, il devient immédiatement une étoile. Bizarre, que j'avais pensé...
La lune de miel a duré un peu plus de trois années. Après : blessures, opérations et déclin de son art, puis échangé trois fois en deux années, dont un séjour à Boston où le public le huait. Puis congédiement et tentative de retour et de remise en forme avec les Capitales de Québec, dans une ligue mineure formée de joueurs rejetés, non repêchés. Bref, passer du sommet au sous-sol. Et encore, il a rencontré du mal à réussir, à Québec.
Le secret du mystère a été révélé par ce qu'on appelle le rapport Mitchell : une enquête sur les produits illégaux utilisés par des joueurs de baseball. Le nom d'Éric Gagné y figurait. L'homme niait l'accusation, avant de l'avouer, dans ce livre. Pendant les heures de gloire, il consommait une de ces substances. Pas qu'elles le rendaient meilleur ou plus habile, mais lui apportaient davantage de résistance. Plus que le corps humain pouvait tolérer...
C'est ce qui a entrainé les blessures et le déclin. Pendant cette période, Gagné raconte qu'il consommait quinze médicaments différents par jour pour chasser les douleurs.
Après la saison à Québec, il a tenté un retour à Los Angeles. En vain : au bout du rouleau, à 34 ans. Il a par la suite investi dans l'équipe de Trois-Rivières (de la même ligue que Québec), a été gérant d'une formation en France, puis travaille présentement comme conseiller des lanceurs pour une équipe des ligues mineures.
Gagné n'est pas l'auteur du livre, mais on voit tout de suite qu'il s'agit d'une étroite collaboration entre lui-même et le signataire, sans doute suite à des heures et des heures d'entrevues. Le livre est écrit à la première personne et, chose rare, on y croise quelques blasphèmes bien placés! L'intérêt est soutenu, car les chapitres ne s'éternisent pas.
J'ai apprécié le chapitre racontant son passage dans un collège américain pour se familiariser avec la science du baseball où le jeune homme faisait face à un entraîneur plutôt tyranique. Puis ce chapitre sur Québec, où l'ex vedette a fait preuve d'humilité. Aussi : l'importance de l'épouse dans les moments de gloire et de déchéance. Dommage que le titre soit en anglais : Game Over (Partie terminée) était le surnom qu'on lui donnait à Los Angeles. Une bonne lecture, bien que l'auteur aurait dû savoir qu'il y a plusieurs synonymes pour le mot 'match', sans cesse répété, parfois dans une même phrase.
1. jakin le 17-06-2019 à 12:33:41 (site)
Salut Mario, pour les passionnés de Baseball ou les curieux qui ont quelques choses à gagner.....
2. MarioMusique le 17-06-2019 à 13:07:20 (site)
Je crois bien que dans tous les sports pro, il y a des problèmes avec ces substances...
Il me semble qu'avec son talent et sa popularité, Eric Gagné aurait lancé plus longtemps, sans cette consommation.
Je viens de vendre mon vélo, pour très peu. Je n'avais plus le choix. Je ne l'ai pas utilisé depuis trois années, à cause de l'affaiblissement du champ de vision de mon oeil droit. Cela aurait pu devenir dangeureux à vélo. De toute façon, j'avais de plus en plus peur de rouler, non pas à cause des automobilistes, mais bien à cause des autres cyclistes. C'est du 'n'importe quoi n'importe comment' : rouler du mauvais côté de la rue, ne pas faire les arrêts, passer sur les feux rouges, y aller à haute vitesse, etc.
Il n'existe que deux photos de moi-même avec un vélo. Celle-ci est la plus ancienne. Je devais avoir quatre ans, je crois bien. J'ai passé mon enfance installé sur l'appareil, franchissant des distances lointaines. Mon but consistait à avoir roulé dans toutes les rues de la ville. J'avais un plan de la municipalité et à chaque retour, je coloriais les rues parcourues un peu plus tôt.
Adulte, rouler à vélo n'avait rien à voir avec la religion santé ni la forme physique et autres pitreries médiatisées : c'était simplement mon moyen de transport. Ainsi, au cours des années 1990, lors de mes cours d'été à l'université, je roulais pendant 45 minutes pour m'y rendre, puis autant pour revenir chez moi, ceci cinq jours par semaine.
Un peu plus tard, c'était une distance de 30-35 minutes pour le stade de baseball. D'ailleurs, la direction du lieu me permettait de garer mon véhicule à l'intérieur du stade.
J'étais alors un cycliste paresseux : pas question de pédaler pour monter une côte! Je la franchissais à pieds, aux côtés de l'objet. Par contre, pour descendre, j'étais un volontaire souriant.
1. johnmarcel le 13-06-2019 à 00:32:55 (site)
Pareil chez moi ! Le vélo… surtout que j'habite la campagne… ce qui fait quelques années…
Comme toute personne normalement constituée j'ai l'âge de mes artères… aller au boulot ou aller faire les courses ne change rien, c'est les longues promenades qui sont plus lentes… m'enfin une promenade c'est pas une compétition, donc on a le temps…
Tuti n'a jamais fait autant de vélo que depuis qu'elle est en France… chez elle les transports en commun sont partout, depuis la moto-taxi, le taxi collectif, le mini-bus, le bus jusqu'au train…
2. MarioB le 13-06-2019 à 00:40:39 (site)
Pour ma part, j'ai l'äge de mes yeux !
Sinon, en omettant les longues distances de jadis, je l'aurais conservé, pour des petites sorties dans le quartier.
4. johnmarcel le 13-06-2019 à 01:40:19 (site)
Un batteur pour soutenir l'autre puisqu'il faut être de retour avant que le lanceur ou n'importe quel homme de champ ne frappe le guichet avec la balle...
5. Florentin le 14-06-2019 à 10:13:31 (site)
Ma douce et moi avons donné notre vélo l'an dernier, moi au compagnon de ma petite-fille (c'était un vélo dit de course), mon épouse au fils d'un ami (actuellement à l'université et qui voulait éviter les transports en commun). Ils nous manquent un peu. Mais il s'agissait de devenir raisonnables et d'éviter les chûtes possibles. On commence à entasser les années ! La marche est moins dangereuse. Florentin
6. MarioMusique le 14-06-2019 à 11:55:32 (site)
Bien que je suis mon âgé, c'était un cas semblable : Éviter des collisions avec des choses que j'ai du mal à voir à cause de la condition de mon oeil droit,
7. Nikole-Krop le 16-06-2019 à 05:46:21 (site)
Je n'ai jamais aimé faire du vélo. En toute chose, je crains le déséquilibre physique. Mais j'allais au collège à vélo. Et quand j'en ai fait une journée en vacances, après, j'avais mal aux fesses et drôlement aux mollets. C'est vrai, en plus, qu'en vieillissant, il faut craindre les chutes, et être prudent.
Tes souvenirs sont bien jolis, et la photo encore plus ! :-)
8. MarioB le 16-06-2019 à 12:04:20 (site)
Cela m'attriste tout de même...
Tu sais, avant de le vendre, je suis passé à la station service pour gongler les pneus, à cinq rues de la boutique où j'ai vendu l'appareil. Ma dernière (mais qui sait?) présence sur le vélo. Et je roulais lentement, un peu nerveux en sentant les autos passer à mes côtés...
Merci !
Le nom Trois-Rivières a été donné par l'explorateur français Jacques Cartier, au 16e siècle. Le type est sans doute passé rapidement ou il était saoul, car en s'attardant un peu, il aurait réalisé qu'il n'y avait pas trois rivières, mais une seule, se séparant en un delta de trois embranchements.
On le constate tout à fait sur cette photo. L'île au premier plan est la Saint-Quentin, où il y avait une chouette plage, au cours de mon enfance. C'est devenu un parc, avec, entre autres, une piste cyclable sous les arbres. Bien sûr, on peut y compter des douzaines de signes d'interdiction. Au bas : l'eau du fleuve Saint-Laurent.
Je demeure du côté droit de la photo, mais un peu plus loin...
1. Florentin le 10-06-2019 à 10:31:30 (site)
Pourquoi les Québécois, qui sont gens intelligents (s'pas ?) n'ont-ils pas corrigé la chose ?
2. Marioromans le 10-06-2019 à 11:34:38 (site)
J'imagine qu'on ne change pas le nom d'un lieu. Au Québec, les noms de villes et villanges, hors les Saint-Quelque-Chose. sont souvent en relation avec la nature : montagne, lac, rivière, etc.
Pour ma part, j'aime bien ce nom.
Il existe aussi une ville du même nom dans les Caraibes.
Je suis né le 31 février 1907. J'ai donc 32 ans. Ma petite enfance fut heureuse, en compagnie de mes parents Robert et Madeleine. J'avais trois frères, pas de soeur : Martin, Yves et Champignon. Je n'ai pas fréquenté l'école longtemps, car je ne me souvenais jamais où était située l'école. J'ai appris à lire grâce à la patience de ma mère Rita et de bandes dessinées comme Astérix a marché sur la lune, mettant en vedette le chien Snoopy. Papa m'a montré à compter en me servant de mes seize doigts.
Adolescent. j'aimais beacoup la musique, surtout celle des années 40 comme les Rolling Zeppelin et les Biteules. Vous pouvez écouter ma chanson favorite de ces derniers avec le fichier audio ici présent. J'ai même joué du tuba dans un orchestre folklorique du nom de Roger Grabarkewitz et ses Chevaliers de l'Ouest, mais ceci n'a pas duré longtemps car je ne me rappelais jamais où était situé leur local de répétitions.
Je me suis lancé sur le marché du travail assez jeune. Curieusement, tous mes supérieurs ont été des femmes. Le premier boulot fut pour le commerce de schmounes de ma soeur Johanne. Je lavais les schmounes, tout en sifflant gaiement. Ensuite, ce fut pour madame Rose, mademoiselle Hortense et, pendant longtemps, pour Jean-Claude, dans son entrepôt de serpents.
J'ai connu ma future épouse Chlozurfile lors d'une soirée dansante et nous fûmes dans le coup de la foudre dix minutes plus tard. Je fus le père de deux enfants : Denise, Gilles et Navire. Une belle vie, surtout quand j'arrivais à trouver la maison familiale.
Hors la musique, j'aimais le cinéma comme le film Citizen King. mettant en vedette Humphrey Beaugosse. J'adore le théâtre, surtout quand j'arrive à trouver la salle. Mon mets favori est le poulet sous-marin à la boue. Mes lectures préférées sont les intenses romans de Mario Bergeron.
Je vous souhaite une journée.
La photo ci-haut : moi-même, l'an dernier.
1. jakin le 04-06-2019 à 11:57:24 (site)
Un article tout en dérision qui montre ton talent à faire de l'iconoclaste comme la musique d’ailleurs ? Pour la photo on regarde sans toucher ! Mais bon, sur Facebook elle aurait été censurée....
3. Maritxan le 04-06-2019 à 18:30:14 (site)
@MarioB:
Tu te laisses aller Mario, tu te laisses aller !
4. MarioMusique le 04-06-2019 à 21:52:06 (site)
Quoi ? Qui ? Hein ?
5. chocoreve le 05-06-2019 à 09:30:57
Arrivé tout droit du terrain
fantôme ? ...
6. Florentin le 05-06-2019 à 11:16:17 (site)
Tu ne te rappelles pas où est l'école, ni le lieu des répétitions de musique. Peut-être vas-tu te souvenir de l'adresse de ton hôpital, le psychiatrique .... Florentin
(Il faut lire l'article suivant, pour comprendre) (Si, si : il y a plusieurs articles par page, ainsi que de nombreuses pages).
J'y suis retourné samedi, en compagnie de ma soeur, intriguée. Pas trop eu le temps de faire des observations, car, de plus, l'herbe était marécageuse de la pluie de la veille. J'ai cependant fait une découverte sur la rue derrière 3 : il y a une autre habitation ancienne qu'on voit sur la photo de 1922 (4) mais aujourd'hui cachée par des arbres.
En ce mercredi 29 mai 2019, j'étais décidé à trouver où niche aujourd'hui le marbre, entouré d'un 0 ci-haut. Le marbre est le petit espace d'un terrain de baseball où le frappeur s'installe avec son bâton, pour tenter de frapper la balle envoyée par le lanceur.
Je suis parti de la maison 1 (toujours en place) et marché en ligne droite pour aboutir sur la possible ligne du troisième but, tout près du marbre.
Idem avec la maison 2, qui n'existe plus, remplacée sur le même terrain par une autre habitation. En marchant en ligne droite, je suis arrivé sur l'hypothétique lieu du monticule, où le lanceur est installé, face au marbre.
La maison 3, qui existe toujours, est en ligne droite vers le monticule ou le marbre.
La maison 4 aboutit sur la ligne du premier but (On le voit très bien sur la photo) qui est reliée au marbre. Bien sûr, il faut cliquer sur la photo pour mieux voir.
Tout concordait, considérant de plus, que la cabane visible en 5, remplacée de nos jours par ce qui me semble être un hangar de rangement, mais construit à la même place. Ceci est en ligne directe avec le marbre.
Bref, l'ex marbre de 1922 est sur le bord du stationnement de 2019. Alors, j'ai pris position comme un frappeur de baseball et ce que je voyais devant moi avait profondément la même forme que le terrain de baseball de 1922.
Je me suis aussi avancé vers les hautes herbes derrière le stationnement pour voir les intallations intactes de l'usine, car le photographe de 1922 avait pris place sur les toits pour prendre ce cliché. Regardez au bas de la photo.
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Anecdote : alors que je marchais au champ centre droit (3), il y avait deux ouvriers de la municipalité intrigués par ma présence et m'ont demandé ce que je faisais là. Alors, je leur ai tout expliqué, avec ma photo entre les mains, leur indiquant ceci et cela. Le plus jeune s'est avancé, regardé droit devant lui, avant de s'exclamer : "Mais t'as parfaitement raison! Ce stationnement a la forme d'un terrain de baseball" Je leur ai montré les maisons survivantes et la forme courbe du lieu où ils travaillaient, typique d'un champ centre d'un parc de baseball.
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Évidemment, comme tout ceci me hante depuis une semaine, cela m'a fait penser à un sujet idéal pour un futur roman, se concentrant sur des lieux disparus du passé, mais où une autre utilisation a pris la relève. Ces lieux de jadis seront habités, chaque nuit, par de sympathiques fantômes qui ont vécu de beaux jours en ces lieux lorsqu'ils étaient vivants.
Outre ce terrain de baseball, j'ai pensé à une usine de textiles (là où il y a aujourd'hui un centre commecial), un grand magasin d'autrefois (devenu un café) une école (édifice à bureaux) mon cher bar rock Rio (café yuppie), le premier cinéma de Trois-Rivières (boucherie) et possiblement un casse-croûte de mon ancien quartier (Je ne sais pas ce que le lieu contient de nos jours. À vérifier.) Je pourrais ajouter d'autres lieux. Ne me restera qu'à définir mes fantômes (par exemple : une employée du département des dames du grand magasin), puis écrire un plan de rédaction.
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Comme mon autre soeur est aussi intriguée, il est possible d'y prendre des photos et de vous montrer ce que j'ai constaté.
Rien n'arrête Mario B !
1. Hazel le 29-05-2019 à 20:46:37
Je t’encourage mario si tu as besoin d’aide je suis disponible
2. MarioB le 29-05-2019 à 22:34:02 (site)
Je pense bien avoir fait le tour de la question. Mireille veut voir aussi et il a été question de photos, qui seraient pour ici.
3. Florentin le 30-05-2019 à 05:53:18 (site)
Intriguant, c'est vrai. Et voilà comment naissent les idées ! Bon courage pour ton nième roman ! Florentin
4. jakin le 30-05-2019 à 12:51:55 (site)
Mario, le chasseur de fantômes de Trois- Rivières....en voila un titre vendeur.....
5. Marioromans le 30-05-2019 à 13:03:10 (site)
Toute chose cache autre chose. C'est d'ailleurs pourquoi l'archéologie existe.
Le roman, ce sera sans doute poiur l'automne. Je suis en train d'em créer un avec grand plaisir. Pas deux à la fois, tout de même !
Il est bien reconnu que les historiens cherchent à voir ce qui n'existe plus. C'est souvent mon cas et je viens de vivre une expérience étonnante en ce sens.
En 1923 et 1924, il y eut une tentative de formation d'une ligue pro de baseball, concentrée sur le Québec et l'Ontario. Il n'y avait qu'une équipe dans cette province, puis trois au Québec, dont une à Trois-Rivières. Au cours de la saison 1923, la franchise de Valleyfield rencontre des difficultés et dès la fin de juillet, l'équipe déménage à Cap-de-la-Madeleine, et prend le délicieux nom de Madcaps.
Apprenant tout ceci, je ne pouvais imaginer une équipe dite pro dans un ville n'ayant pas 3,000 de population. Avant tout : où donc ces Madcaps jouaient ? Assurément près du fleuve, la seule zone d'habitation du Cap à ce moment.
J'ai cherché dans les journaux d'époque et si je voyais de la pub pour les rencontres de l'équipe, on ne me disait pas où ils se produisaient. Puis un jour, je note dans le livre de Jean-Marc Paradis (Historien du baseball) une photo d'une équipe amateur s'exécutant au Cap, en 1924. J'en discute avec monsieur Paradis, qui me fait remarquer que dans le coin gauche, on peut voir l'usine de pâtes et papiers St-Maurice. Le terrain était donc adjacent à cette entreprise, qui existe encore de nos jours, sous le nom de Cascades.
Or, ce secteur n'est pas loin de chez moi, mais je ne voyais aucun lieu où on aurait pu établir un terrain de baseball. Du moins jusqu'à ce que je découvre la photo ci-haut, dans un album de photos anciennes du Trois-Rivières métropolitain. Elle date de 1922 et a été prise du sommet de l'usine (Voir 2). On y voit aussi le fleuve (6), malheureusement disparu lors de la numérisation de l'ensemble.
Tout était en place pour que je découvre mon fantôme. Oh, je m'attendais à voir une forêt, de hautes herbes, mais pas ce que j'ai découvert. Je dois préciser que j'ai consulté un homme d'un certain âge, n'ayant jamais entendu parler d'un terrain de baseball près de l'usine.
Le point 1 indique la rue Notre-Dame, ayant toujours le même trajet de nos jours. En y marchant, le long de l'usine, je ne vois que des arbres. Jusqu'à ce que j'arrive à 3. Cette maison est encore là et, à ses côtés, un chemin asphalté descendant vers le fleuve.
En l'empruntant, j'ai eu l'immense surprise de voir un large stationnement, avec exactement la forme d'un terrain de baseball. Au fond, il y a des arbres géants, des tables à pique-nique.
Je me suis installé à 3, regardé à droite pour voir l'usine, comme les gens de 1922 le faisaient. Devant moi : une zone de pelouse, le champ gauche de 1922. Puis, asphalté, l'avant-champ.
En marchant le long de cette zone de pelouse (sur la photo, on voit un mince sentier) vers la gauche, mon parcours prenait tout à fait la forme d'un champ extérieur de terrain de baseball. Puis j'ai vu la maison 4, toujours en place. Sur la photo, elle est derrière le champ centre. En me retournant, j'ai précisément la vue qu'un joueur de cette position a du terrain.
Je me suis déplacé vers cette zone, où il y a une rue, puis je me suis permis d'entrer dans la cour de cette habitation et le coup d'oeil me révélait davantage la forme d'un terrain de baseball.
Je suis retourné vers le stationnement et vu l'établissement en 5, qui est sans doute un bâtiment plus récent, mais construit sur les ruines de l'autre. En me retournant, je vois l'asphalte, mais mon émotion a plutôt vu l'avant champ de l'ex terrain sportif.
J'ai appris que ce stationnement et ce parc étaient un endroit pour placer des embarcations dans le fleuve. La photo ci-dessous nous donne un coup d'oeil de l'ensemble et, au fond, on voit le stationnement, ayant la même forme, du moins en partie, que le terrain de baseball de 1922.
Sur la photo de 1922, il n'y a pas de bancs pour les spectateurs. Par contre, sur celle du livre de monsieur Paradis, on voit tout à fait des estrades, sans doute établies l'année suivante pour les gens désireux d'encourager les Madcaps. Bien sûr, vous pouvez cliquer sur la photo pour mieux voir.
2. MarioB le 23-05-2019 à 11:36:50 (site)
Je vais sans doute y retourner pour trouver d'autres traces. Je ne m'attendais profondément pas à cette découverte parce que lorsqu'on passe le long de cette rue, dans ce secteur, ce n'est qu'une fforêt entre la rue et le fleuve,
J'ai passé le reste de la journée à ne penser qu'à cette exploration.
Puis, c'est beau, dépassé le stationnement. avec une vue magnifique sur le fleuve.
3. Hazel le 23-05-2019 à 11:55:24
Que de détermination pour trouver quand tu y retourne applelle moi je veux y aller
Vendredi après-midi, près de 3 heures, j'étais au Dollarama près de chez moi, en train de payer mes achats, quand une jeune femme, surgissant de nulle part, s'accroche à moi en criant qu'elle allait s'évanouir. Le temps de deux secondes, je croyais qu'on me jouait un tour, mais j'ai vite constaté qu'elle ne mentait pas. Je l'ai retenue, elle s'est raidie, puis est tombée au sol, pleine de convulsions.
Immédiatement, ma caissière et sa voisine sont arrivées, ainsi qu'un employé du commerce, tentant de la calmer. Car convulsions énormes il y avait, avec des cris stridents.
L'homme a tout de suite téléphoné pour une ambulance. Le visage de la pauvre est devenu blanc, avec des teintes bleues près de la bouche. Je me suis penché quand elle bougeait les jambes en tous sens, puis lui ai pris les mains. Je me sentais mal à l'aise, puis les femmes m'ont demandé de disperser les témoins, afin que l'autre puisse un peu respirer.
Les trois ont eu une attitude admirable, pour tenter de calmer l'affligée. Pour ma part, je continuais à me sentir mal dans ma peau, ne sachant pas quoi faire.
Tout ça a duré dix minutes. La demoiselle est revenue à elle à ce moment, n'ayant aucun souvenir de ce qui venait de lui arriver. Elle était cependant très nerveuse, en sueurs. Les ambulanciers sont arrivés à ce moment.
Ma caissière est retournée à son poste, pour recevoir mon argent. Je lui ai dit qu'elle devrait exiger une pause-café. "Je pense que vous avez raison..." a-t-elle répondu.
Je suis sorti du centre commercial sous le choc et j'ai alors pensé que dans sa malchance, la jeune a eu la chance que cette crise ait eu lieu dans un endroit public, car qui sait ce qui serait arrivé si cela s'était produit sur un trottoir d'une rue secondaire.
De retour chez moi, le coeur lourd, j'ai placé mes achats dans les armoires, puis j'ai cherché sur Internet à connaître grosso modo ce qu'une caissière a prétendu : crise d'épilepsie. La définition trouvée correspondait exactement à ce que j'avais vu.
Tout en faisant cette recherche, je me suis rendu compte que mes mains avaient l'odeur de la femme, de ses sueurs quand je tentais de la calmer.
Oufff... Jamais je ne pourrai oublier une telle chose!
1. johnmarcel le 18-05-2019 à 05:35:01 (site)
Il s'est senti mal sur le sofa, des personnes compétentes se sont occupées de lui… il faisait une crise d'épilepsie…
Le lendemain je le revois et lui dis "je regardais sans bouger car je n'aurais pas su quoi faire, et je voulais pas passer comme un badaud curieux"... il m'a répondu "je sais, je t'ai vu"...
3. Hazel le 19-05-2019 à 20:47:51
Tu as bien réagi Mario bravo
4. MarioB le 19-05-2019 à 21:50:10 (site)
Je crois surtout que si les deux enokitées n'avaient pas été là, il y aurait eu de graves problèmes.
Quand je passerai lè-bas, j'irai leur dire.
5. Florentin le 20-05-2019 à 10:49:20 (site)
Evidente, la crise d'épilepsie. Il faut appeler les secours naturellement, et, en attendant, veiller à ce que le malade ne se mettre pas en danger. Généralement, ces crises finissent par s'arrêter Mais, je suppose que la dame en question est soignée pour cela. C'est un symptôme qui se contrôle plutôt bien. Mais, c'est vrai que son extériorisation est souvent impressionnante.
édité le 20-05-2019 à 16:50:34
6. MarioB le 20-05-2019 à 12:03:28 (site)
Quand elle est revenue à elle, une des femmes lui a demandé si elle était épileptique. Elle a répondu Non Non... Peut-être mal à l'aise de le dire.
Comme je ne suis pas famlier avec les maladies et tout ça, cela m'a secoué.
7. Nikole-Krop le 20-05-2019 à 13:04:49 (site)
Les crises d'épilepsie sont spectaculaires, mais plus ou moins "démonstratives" ; j'ai, comme toi, été confrontée à ça ... c'était dans un train et ça n'a pas duré longtemps. Une fille était en face de moi et elle a commencé à avoir un comportement étrange, comme raide. Tout est assez flou dans mes souvenirs mais je me souviens lui avoir demandé si je pouvais l'aider, et jje me souviens comme au ralenti d'un vague geste me disant de la laisser, je me souviens de la voir se coucher sur le côté, trembler, baver ; ça m'a semblé interminable mais ce fut court. Je ne la quittais pas des yeux, prête s'il le fallait à tirer le, signal d'alarme. Et puis elle s'est rassise, lentement, doucement, fatiguée, en me disant après un moment : Ne vous inquiétez pas, ça m'arrive parfois, j'ai l'habitude et je sais quoi faire, ça passe !
8. MarioB le 20-05-2019 à 15:22:48 (site)
Ça surprend, quand on voit une telle chose pour la première fois.
Merci pour ce témoignage.
Enfant et adolescent, nous avons eu deux chien à la maison. Quand j'ai décidé de voler de mes propres ailes, j'ai cru qu'un chat serait une bonne solution, car j'avais entendu dire que les félins s'accomodaient mieux de la solitude. Je ne connaissais rien aux chats. Depuis, j'ai appris à les connaître et à les aimer. Avant de vous présenter les minous de ma vie, voici une chanson extraordinaire sur les chats, par Renée Claude.
IZENGOURD
Mon premier chat et une vilaine surprise. Ce bébé était extrêmement agressif. Il mordait et griffait sans cesse, si bien que mes mains, mes bras et même mes jambes portaient la trace de ses attaques incessantes. Je ne l'ai eu qu'une dizaine de jours, le remettant au gars qui me l'avait donné. Dès lors, mes autres chats proviendraient de la SPA.
SALOMÉ
C'est avec ce mâle que j'ai appris à me familiariser avec l'univers du miaou. Un gentil chat, qui avait une queue énorme et touffue. Il n'était pas sociable envers mes amis. Quand ils arrivaient, le chat se cachait. Sauf dans le cas de Marcel. Alors, il le regardait, ronronnait, grimpait sur ses genoux. Je le laissais libre et un jour, il est disparu sans laisser de traces. Je l'ai eu autour de trois années.
Je vais motiver le nom Salomé. Dans un de mes romans, une femme possédait une chatte de ce nom, que j'avais choisi après avoir vu à la télé un vieux film avec Rita Hayworth, portant le nom de Salomé.
SALOMÉ II
Je l'avais baptisé Calcium, mais comme j'étais familier avec le nom Salomé, voici donc le second membre de la dynastie. Je vais couronner ce mâle comme le voyou par excellence de tous mes minous. Je le laissais aussi libre et comme il n'y avait pas de bouchon sur son appareil, il adorait les demoiselles. À une occasion, une de ces courtisanes était montée jusque chez moi, réclamant à hauts cris la présence de mon mec. Le duo n'a pas fui vers un hôtel et deux minutes après lui avoir ouvert la porte, le couple était à l'oeuvre.
Il pouvait aussi partir à l'aventure pendant des jours et ce coquin se battait! Sinon, très gentil chat. Il ronronnait en stéréophonie. Suffisait de le regarder et le moteur se mettait en marche. Il est mort à sept ans, sans doute de vieillesse, tant il avait fait la fête chaque jour de son existence.
SALOMÉ III
La première chatte, cette fois opérée. Elle était très chasseuse : oiseaux (qu'elle bouffait) et souris (Où diable les dénichait-elle?) C'est avec cette chatte que j'ai découvert que les félins avaient une horloge intérieure. Ils font toujours la même chose à la même heure. Par exemple : je travaillais alors en soirée et revenais à la maison à minuit trente. La chatte m'attendait toujours, regardant par la fenêtre. Une fois, j'avais triché, de retour à minuit. La chatte n'était pas à son poste. Alors, j'ai attendu et vers minuit 25, elle était montée pour s'installer à la fenêtre, attendant de me voir. Très gentille petite, qui a partagé ma vie pendant une douzaine d'années.
SALOMÉ IV
Je n'ai pas de photo de cette chatte, mais elle ressemblait à cette image. Je ne l'ai eu que cinq mois. Temps suffisant pour avoir une envie de garçon, ce qui m'avait fait réaliser que la SPA s'était trompée dans l'âge de l'animal. Bien sûr, il y a eu la grande opération. Une petite chatte craintive, peu sociable, mais elle n'a pas eu le temps de se familiariser. Un jour, elle est revenue sur trois pattes. Je me suis rendu chez le vétérinaire, me confirmant ce dont je me doutais : une pesonne inconnue avait frappé la chatte avec un bâton, une pelle, lui fracturant une patte à trois endroits. Je n'ai pas eu d'autres choix que de permettre au doc' de faire cesser sa souffrance.
SALOMÉ V
L'amour de ma vie et aussi la chatte que j'ai eu le plus longtemps : presque seize années. Un animal extrêmement discret : même jeune, elle jouait peu, ne miaulait presque pas, ronronnait à peine. Une certaine indépendance, de plus. Suite à la mésaventure avec la chatte précédente, je sortais celle-ci en laisse, ce qui étonnait les passants. Quand je sortais la laisse du tiroir, elle accourait, excitée, sachant qu'elle marcherait dans l'herbe. Cette chatte n'a jamais été agressive : aucun coup de patte et ne m'a jamais mordu, même en jouant. Un amour de petite chatte et je ne l'ai pas oubliée.
SALOMÉ VI
Mon chat actuel, âgé de 3 ans et 5 mois. Retour d'un mâle. La photo a été prise la première année. Depuis,il a quintuplé son poids et sa taille. De tous mes chats, celui-ci est le plus imposant. Jeune, il était hyperactif. S'est depuis un peu calmé... Sur la feuille de la SPA, c'était indiqué "Pot de colle". J'ai vite compris ce mystère : il adore se 'coller' sur moi pour se faire caresser et ronronner. Petit, il se couchait contre mon cou. Maintenant, au lit, il s'installe sur mes jambes, ce qui devient un peu lourd et m'empêche de dormir. À mon réveil, il a repris place sur mes jambes, se lance près de moi et ronronne, comme pour me souhaiter la bienvenue dans cette nouvelle journée. Un chat affectueux que j'apprécie. Sauf quand je me mets au lit... Ah, même après tout ce temps, il ne comprend pas son nom.
2. Florentin le 05-05-2019 à 11:11:09 (site)
Je ne suis pas fan ds chats, que je trouve égocentriques et trop indépendants.Celui de ma fille fait ce qu'il veut quand il veut, capable, par exemple, de disparaître pendant deux ou trois jours..Il aime la compagnie et montre (du moins je l'imagine) de l'affection envers ses maîtres. Mais il n'accepte les câlins qu'à sa mesure. Si on insiste, il se rebiffe et mordille. Parle-moi des chiens. Eux, au moins, ils se feraient tuer pour toi. Mais, bon, je suis peut-être mauvaise langue. Mon discours est sans doute trop à charge ! Aplu. Florentin
3. MarioB le 05-05-2019 à 12:00:20 (site)
C'est parce que tu n'as jamais eu de chats que tu énonces tout ceci. Ils sont étonnants d'attachement, mëme de gentillesse.
Par contre, ce ne sont pas des jouets. Si tu interviens pendant qu'ils dorement ou se reposent, ils sont en droit de refuser.
6. chocoreve le 07-05-2019 à 09:18:28
Comme je le dis souvent, autour de moi, il m'est impossible de posséder un chat, sinon c'est lui qui me posséderait ! ...
Je me suis occupée pendant un temps de celui de ma fille. Chez moi, c'était un self-service, pour les repas, et quand il venait dormir sur moi, je ne le réveillais pas ! et un chat ça dort longtemps !!! ... alors imagine ...
7. MarioB le 07-05-2019 à 12:41:19 (site)
Mes chattes, je n'avais rien contre. Mais pas mon actuel ! Trop lourd ! Ah ça oui, ils dorment pour la peine...
Commentaires
1. chocoreve le 29-06-2019 à 08:43:04
C'est une blague ? mais quelle stupidité ! Le plus dangereux étant de le consommer... le Pepsi ... ça y est je m'y mets, "l'effet miroir" a bien fonctionné...
2. jakin le 29-06-2019 à 11:17:37 (site)
Pepsi ou Coca c'est du cola et ça décape les estomacs....à proscrire !
3. Marioromans le 29-06-2019 à 12:10:11 (site)
Non, ce n'est pas une blague. C'était bel et bien indiqué sur la machine.,
4. Florentin le 30-06-2019 à 10:58:11 (site)
On a surtout peur qu'il arrive un accident et que cela coûte au propriétaire de la machine une maximum d'indemnités. Aujourd'hui, au moindre pépin, on peut se retourner contre vous et vous faire cracher au bassinet. Alors on se protège contre le moindre aléa négatif.Le monde devient compliqué ! Florentin
5. MarioMusique le 30-06-2019 à 12:37:45 (site)
Tout ça est exagéré.