Mario Bergeron multicolore

Quotidien, souvenirs, coups de coeur, etc.

#maison
posté le 13-03-2017 à 18:46:56

Méfait du fêlé

J'habite mon logement depuis 2005. La maison compte six logements. Tout va très bien et je ne songe pas du tout à déménager. Cependant, depuis tout ce temps, il y a toujours eu un locataire fêlé, coupable de bris, de méfaits et de tout ce qui peut rendre la vie désagréable aux autres.

Depuis juillet dernier, c'est l'homme du sous-sol, spécialiste en drames matrimoniaux. Ne souriez pas : ce gars est un violent dangereux. Ses hurlements ressemblent à des égosillements, grognés à puissance maximale, avec des coups de poings dans les murs et des portes qui claquent très fort. Au fait : elle lui donne la réplique sur le même ton. Les locataires, moi le premier, ont carrément peur, car ce gars a tout ce qu'il faut pour arriver un jour avec l'arme essentielle pour régler la question.

 


 
 
posté le 29-01-2017 à 09:17:04

La maison de la rue des Chenaux

Un article sur la maison familiale, où j'ai passé mon enfance, mon adolescence et une partie de ma vie adulte. Curieux de constater que dans mes albums photo, on n'en trouve aucune de la maison complète. J'ai donc fait un zoom moche et hors-foyer sur une photo que je présente deux articles plus loin.

 


 
 
posté le 06-08-2015 à 19:58:52

Ma rue et ma maison

J'habite rue des Érables. Joli nom et pas choisi au hasard. Cette rue a dû être établie au cours des années 1940 et les concepteurs de l'époque ont eu la bonne idée de ne pas couper les arbres. La rue traverse du sud au nord la moitié de la ville. Je loge à son extrémité sud, là où... il y a peu d'érables ! Mais tout le reste de la rue est ombragé par des arbres gigantesques. La rue est résidentielle, sauf en sa partie nordique, alors qu'elle traverse un parc industriel. Concue à l'époque de l'automobile, c'est une rue large. Très agréable !

 


 
 
posté le 01-06-2015 à 01:25:05

Déménagement

Voici dix années que j'habite le même lieu. Au Québec, la date butoir pour les déménagements, c'est à dire la fin des bails, est le premier juillet. Branle-bas de combat partout dans la ville ! La samba des maux de dos et le mambo des bobos aux doigts ! Pour ma part, je n'ai vécu le "grand dérangement" que quatre fois. Je me souviens de celui de 2005, car il fut le plus facile. Pour la première fois, j'avais eu droit à des déménageurs pros, qui ne lambinaiennt jamais. C'était un samedi. Ce qui m'avait étonné, est que la même journée, vers 23 heures, tout était placé. J'étais épuisé ! Je m'étais levé tôt le dimanche matin et il fallait penser à remplir le frigo. Il y avait un supermarché à quinze minutes de marche et, franchissant le trajet, j'avais alors pensé que je le ferais des centaines et des centaines de fois au cours des années suivantes. Au début de l'après-midi, je m'étais rendu chercher ma chatte, gardée par ma mère, et j'avais cru que Salomé serait prise de panique. Elle avait fureté toutes les pièces, tout senti, la queue très droite, donnant des petits coups de temps à autres, avant de se coucher sur le plancher du salon, avec l'air de dire qu'elle acceptait le lieu. Je me sens très bien là où je demeure et c'est le meilleur logement où j'ai habité, sauf que le coin est envahi par des chiens très bruyants...

 


 
 
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