Un centre-ville, c'est la jeunesse de tout le monde, le hâvre des sourires. des éclats de rire, du rêve, et même des coups de foudre menant vers l'union et l'apparition d'enfants et d'adolescents se pressant vers le même centre-ville pour trouver l'amour, rêver. éclater de rire et tant sourire. Alors, la jeunesse demeure dans les coeurs, en descendant d'un autobus. Betty, comme beaucoup de gens de son âge, regarde l'invisible, comme ce local abritant une animalerie et qui, lors de ses vingt ans, était le royaume d'une chapelière distinguée présentant en vitrine les plus extraordinaires couvre-chefs. Quand elle regarde un chien, la femme est peut-être la seule à voir un chapeau. C'est la magie intemporelle d'un centre-ville.
Elles ont sans doute neuf ou dix ans, puis jouent selon une méthode d'apprentissage, avec des règles différentes. Il n'y a pas de lanceur, mais une machine, assurant que les balles projetées le seront toujours à la même vitesse et au même endroit. Ceci n'empêche cependant pas que, comme les garçons du même âge, elles s'élancent sur tout ce qui bouge. Aussi, les balles frappées deviennent toujours une erreur en défensive, bien que je me suis rendu compte qu'elles comprennaient ce qu'elles devaient faire.
Au Québec, on adore les bleuets, à toutes les sauces. Les recettes les mettant en vedette sont nombreuses, avec en tête les tartes et la confiture.
Enfin, mon problème d'écureuils semble chose du passé. Il ne me reste qu'à trouver un aspirateur pour tenter de retirer toute chose nuisible qui serait demeurée dans leur lieu d'adoption. Il faudra aussi que le proprio de la maison revienne pour boucher les trous. Sinon, tout est tranquille chez moi. La saison de baseball a débuté la semaine dernière, mais il faisait trop froid jeudi soir pour me rendre au terrain. Cette année, il y a une nouveauté. En effet, il y a eu assez d'inscriptions de filles pour former une ligue régionale. Ce sont des petites (10 ou 11 ans) mais ce sera sûrement agréable de me rendre les voir à quelques occasions. Tu sais, pour moi, l'été n'a que deux aspects plaisants : écrire au parc et le baseball. Le reste m'énerve : bruyant et criard. Ah, j'ai perdu l'ajout pour transformer mes verres en lunettes soleil. Moins comique...
Comme il y a des changements tous les jours, je fais une sauvegarde sur une USB, mais je dois d'abord effacer le fichier qui est là, puis remettre le plus récent, avec les modifications.
Téléviseur
Fleurs et plantes (Je suis allergique)
L'un d'eux était un vilain futé : il a déplacé le piège déposé par le proprio, avec aucune trace de capture. Ça continuait à marcher et courir entre de gauche à droite, assez pour me tirer du lit. Je savais qu'ils étaient là, mais sans voir précisément où. Et pendant ce temps, l'autre matenelle continuait ses visites bruyantes à l'extérieur.
Alors, le proprio est venu avec des solutions. Pour cette grande fête, j'ai eu droit à un spectacle inédit. J'ai bel et bien vu l'écureuil marcher sur les fils téléphoniques près du toit de la maison et ce petit acrobate se lancer dans la bouche d'aération du ventilateur du poêle. Le proprio m'a dit que c'était impossible, jusqu'à ce qu'il en soit témoin.
L'ACTION DE BOIRE
BROSSE : Ex : Mon oncle Roger aime bien partir sur une brosse. EX : Son épouse Marie a décidé de prendre une brosse avec ses copines.