Un livre de ma bibliothèque que je viens de relire avec joie. Jean de Brébeuf était un père jésuite, missionnaire au pays des Hurons, au 17e siècle, ayant comme but de convertir ce peuple au catholicisme. Pendant quarante années, les Jésuites étaient tenus de rendre compte de leurs actions à leur supérieurs de France, par des récits nommés "Relations". Sans eux, nous saurions peu de choses sur les Amérindiens.
S'oubliant des caresses que je leur avait faites. Démonstrations d'amitié et de bienveillance.
Dimanche le 26 juillet 2015, au parc du Moulin, à 15 heures 15, je termine le roman Le cochon deBérangère, entrepris le 1 août 2014 au même endroit.
Le temps de fermer mon cahier, de sortir un second de mon sac, de l'ouvrir, de prendre le stylo, un nouveau roman était en cours de création. J'avais trois choix d'idées. J'ai choisi celle-ci il y a environ une semaine. Voici quelque chose que je n'ai jamais fait et qui m'a semblé à risque, du moins jusqu'à ce que je modifie l'approche.
Un article du présent blogue peut laisser croire que je n'aime pas les chiens. (Oui, oui : il y a d'autres écrits que celui du premier article de la premilère page.) Faux ! Cependant, j'ai horreur des petits chiens frisés blancs, parce qu'ils sont laids et aboient sans cesse. Les autres chiens, ça va, même si je n'en voudrais pas chez moi, car les chats rejoignent davantage mon caractère. Quand je vois un chien, je ne peux m'empêcher d'approcher, de leur parler, les caresser.
J'ai toujours cru que pour un Québécois, fouler le sol du pays de nos ancêtres représente un devoir. Ainsi, en juillet 1996, je me décide : voyage d'agrément à Paris pour me frotter à la France profonde. Avant le départ, j'achète l'objet essentiel pour toute bonne visite à Paris : Un petit dictionnaire Anglais/Français. Il s'agissait aussi de mon baptême de l'air. Pas du tout aimé... Trop long et monotone.
J'ai un défaut de fabrication. Aussitôt que je me suis mis à marcher, je me cognais partout. D'ailleurs, il me reste deux marques de ces collisions terribles que je faisais au cours de ma petite enfance. Inquiétude de mes parents : Qu'est-ce qu'il a, le dernier né ? Le verdict est vite tombé : un oeil, c'est rond. Pas les miens : ils sont ovales. Or, au cours des années 1950, il n'y avait pas de lunettes pour les très jeunes enfants. J'ai donc passé ce temps à ne rien voir. Mes premières lunettes sont arrivées à l'âge de cinq ans.
C'est ce qu'affirment les médias, un peu partout dans le monde. J'en ai eu des indications, lors du salon du livre de Trois-Rivières de 2014, en parlant avec quelques auteurs. Curieusement, depuis cette nouvelle, mes deux livres publiés ont été mes meilleurs vendeurs, mais j'ai été largué par ces deux éditeurs. Dans mon esprit, un roman se vend la première année de sa parution, car il y a des chances de le trouver dans les librairies. Par la suite, c'est hasardeux. Cependant, avec ces deux romans, la deuxième année paraît mortuaire.
Des livres de ce type ont déjà été publiés, à propos de nombreuses guerres, mais pas sur la guerre de 7 ans au Canada. Si le sous-titre indique les années 1756-1763, ce sont surtout 1760-61 qui sont en cause, années de la conquête britannique de la Nouvelle-France. Ce n'est pas une histoire de cette guerre, mais bien à propos des conséquences sur le peuple conquis.
L'intersection des rues Notre-Dame et des Forges, au centre-ville de Trois-Rivières. L'historien aurait beaucoup à dire sur ces deux rues. Le plus ancien que je puisse évoquer : à l'époque de la Nouvelle-France, les vaisseaux et embarcations arrivaient sur la berge du fleuve Saint-Laurent, au bout de la rue des Forges. Les passagers marchaient un peu, puis tournaient dans un chemin - la future rue Notre-Dame - pour se rendre aux pallisades du bourg.
Il n'y a jamais eu de "Raison sociale" ni de publicité pour ce service, mais je l'ai fait souvent, entre 1975 et 1985, tout simplement parce que j'avais le matériel et beaucoup de disques de tous les styles. Cela se faisait "de bouche à oreille", par la voie de personnes que je connaissais. Il y a eu des fêtes étudiantes, des célébrations de Noêl, du Premier de l'an, un 25e anniversaire de mariage, une fête de la Saint-Jean, tant de choses !
VEF est ma cinquième plateforme et j'ai constaté que les gens s'exprimaient de cinq façons différentes. Il y a cependant des points communs. Aujourd'hui, je désire me pencher poliment sur la zone de commentaires des visiteurs.
C'était au cours de l'été 1978 et l'idée de se rendre à St-Jean-de-Matha pour applaudir Plume Latraverse et Stephen "Cassonade" Faulkner avait été improvisée. Pas de billets en poche ! Avec Dino et sa blonde, Gilles est passé me prendre dans sa première automobile, une Lada usagée baptisée Gougoutte et qui avait une portière qu'on devait attacher avec une corde pour la tenir fermée. St-Jean-de-Matha était une petite ville du nord, à près de deux heures de route de chez moi. Je n'avais jamais entendu ce nom de ma vie.
Depuis que je fréquente les terrains et stades de baseball, je n'ai jamais été atteint par une fausse balle et... Bon! Je dois expliquer aux Européens : une fausse balle n'est pas le contraire d'une vraie balle, mais une balle cognée hors-jeu par le frappeur. Elle file hors des lignes de démarcation ou... dans les estrades, chez les spectateurs.
J'étais un élève discret, souvent dans la lune. Comme dans le cas de beaucoup d'enfants de jadis, et même pour ceux d'aujourd'hui, la seule chose qu'on ne nous enseignait pas à l'école était : comment étudier. Personne ne m'a jamais montré. Les notes, à gauche, ne laissaient pas deviner mon avenir. En français, en rédaction, j'avais obtenu quatre C. Pas de quoi être publié ! La note globale était cependant de 78 %. 73 % en arithmétique ? Quel miracle ! Notez la section "Autres matières" : j'ai débuté avec un F (moins de 50 %) et au bulletin suivant, j'avais un B (80 à 90 %) Quel bond prodigieux ! Je me demande ce qu'était cette science mystérieuse... Moche en religion, cependant.
Vendredi le 3 juillet 2015, vers 13.15 heures, j'attends qu'il y ait moins de voitures pour traverser le boulevard Sainte-Madeleine, étant installé dans la zone pour piétons quand, très soudainement, une auto, stationnée tout près, fonce à vive allure en ma direction ! J'ai eu le temps de courir vers le trottoir, trébucher et me blesser, pendant que le conducteur a pousuivi sa route, sans arrêter. Un type aurait voulu me frapper qu'il n'aurait pas écrit un meilleur scénario.
J'ai passé une partie de ma vie à manipuler des microfilms d'anciens journaux. Pour mes recherches universitaires en histoire, pour mes romans et pour mon simple plaisir. J'y croisais tout le temps des découvertes étonnantes, fascinantes. Les journaux ont commencé à prendre la forme qu'on leur connaît à partir de la décennie 1910. Avant, c'était ardu à consulter. Il y avait peu de gros titres, pas de photos, quelques illustrations. Les articles, souvent des entrefilets, étaient étalés en plusieurs colonnes, pêle-mêle. Pour s'arracher les prunelles des yeux sur un écran, c'était idéal. Pour des découvertes, des instantanés de la vie de gens de ce lointain passé, je vous invite à quelques nouvelles glanées ça et là dans la copie du journal Le Trifluvien, édition du mardi 29 octobre 1907.
Depuis toujours, 75 % de mes lectures sont des livres d'histoire. J'aurais pu en avoir ras-le-bol suite à mon doctorat, mais ce ne fut pas le cas. Le livre suivant est le plus mauvais que j'ai croisé, en histoire.