
Excellente peinture nocturne pour représenter un vieux quartier de la Nouvelle-Orléans. Un disque de 2021.
Voyez ci-dessus ? L'en tête d'une lettre reçue à deux occasions, de la part d'une compagnie d'assurances avec qui je fais affaire. On y voit un petit arbre mignon-mignon et l'indication que le papier, c'est terminé, et qu'il s'agit d'une bonne nouvelle. Ah ouais ? De plus, il faut que je m'inscrive à un site pour savoir ce qui se passe ? Ah ouais ouais ?Ça, c'est le trip écolo néo-hippie qui dit, par exemple, que si je me présente au supermarché avec mon sac, je vais sauver un arbre. Avant de poursuivre, je jette un coup d'oeil à l'extérieur et je compte une douzaine d'arbres. Un coup d'oeil microscopique dans une ville tout autant micro sur sa planète. Alors, des arbres, il y en a des milliards et des milliards.

Le 26 juillet dernier, en apportant des ajustements à mon roman La Splendeur des affreux, j'ai croisé un passage décrivant une réunion amicale dans le cadre d'un Noel de 1820. J'ai alors réalisé que c'était un texte réussi et ai pensé que cette fête était souvent évoquée dans mes romans, publiés ou non.