Le photographe québécois le plus célèbre de la fin du 19e siècle et début du 20e était un citoyen de ma ville : Pierre-Fortunat Pinsonneault. Il était cependant natif d'un village, d'un père photographe. Fait singulier : ses trois frères et sa soeur exerçaient aussi ce métier.
CHIEN : Wouf Wouf
PETIT CHIEN BLANC FRISÉ : Erk! Erk! Erk! Erk!
D'abord, une leçon de géographie. Trois-Rivières est une ville centre d'une région nommée Mauricie et est située le long du fleuve Saint-Laurent. Mitoyens à la ville, nous croisons Pointe-du-Lac, Trois-Rivières-Ouest, Sainte-Marthe, Cap-de-la-Madeleine et, vers le nord, Saint-Louis de France. Il y a peu de distances entre ces lieux. Par exemple, entre le Cap et Trois-Rivières : un pont d'un peu plus d'un kilomètre. Depuis 2001, toutes ces localités sont fusionnées sous le nom de Trois-Rivières.
Ceci est un mémoire de maîtrise, avec la méthode universitaire de rédaction. Grand bien pour les universitaires, mais tant pis pour le public qui voit le résultat en forme de livre.
1)- 53 ans
2)- 19 ans
3)- 62 ans
Je suis né à :
J'aime beaucoup les livres ou revues anciennes et chaque fois que je croise une de ces publications, je suis preneur. Celui-ci est un court livre de 48 pages, de 1942, outil de propagande pour les Écoles ménagères, dont l'abbé Tessier était responsable, au cours des années 1940. Hommage aux femmes, mais, il va de soi, perçues dans des rôles traditionnels, que l'auteur glorifie avec une jolie plume. Tout ceci peut paraître vieillot, mais j'ai déjà croisé davantage à rebrousse-poil que cet ouvrage. De plus, Tessier illustre chaque article avec de magnifiques photographies aux teintes bleues, mettant en vedette des enfants et des adolescentes, car, bien sûr, c'est à ces jeunes femmes que les Écoles ménagères s'adressaient. S'il est question de tricot, de tissage et d'autres tâches semblables, il n'est curieusement pas question de cuisine.
St-John, capitale de Terre-Neuve
Photo de famille de John Grabarkewitz, premier ministre de la province de Nouvelle-Écosse
Je m'étonne qu'aucune indication ne nous informe que la rue des Casernes était, à l'époque de la Nouvelle-France, le premier chemin que les gens voyaient en franchissant les pallisades du bourg des Trois-Rivières. Ces pallisades étaient là où se trouve l'édifice à gauche (L'actuel bureau de poste). Les gens arrivaient un peu au nord. Au fond, on peut voir la cathédrale. Le photographe était dos au fleuve Saint-Laurent, tout près.