À l'époque de la Nouvelle-France, il n'y avait pas de routes. Les gens se déplaçaient en canot ou autre embarcation, sur le fleuve Saint-Laurent. D'ailleurs, tous les villages et seigneuries étaient sur le bord de ce cours d'eau. Cependant, il existait des chemins reliant des lieux proches les uns des autres. C'était le cas de la future rue Notre-Dame, reliée à Trois-Rivières. Cependant, vers la fin du régime français (18e siècle), tous ces tronçons furent réunis sous le nom de Chemin du Roy, la première 'route' de l'histoire du Québec.
Je me suis tout de suite écroulé sur le trottoir, me tordant de douleur. Car ça faisait vraiment très mal. Il me restait dix minutes à marcher avant d'arriver chez moi et j'ai dû m'arrêter cinq fois pour mettre la main là-dessus, humecter avec ma salive. Il y avait des étirements intérieurs très violents.
Mot de la présidente
La mort est formidable! À l’instant même, s’il y a souffrance, elle s’évapore dans une douce lumière blanche et ce qui subsiste en nous de vie s’endort paisiblement. Seul l’esprit demeure, voguant dans un long couloir menant vers l’infinité. Il y a des choses que les humains croient et qui sont vraies, alors que d’autres sont tout à fait fausses. Vrai : la vie éternelle. Faux : le ciel. Parlons, dans ce dernier cas, d’un au-delà sans nuages ni planètes ou quoi que ce soit relatif à la vie terrestre. Les esprits y flottent librement, avec bonheur, se saluant : « Bonjour! Belle Éternité aujourd’hui, n’est-ce pas? »
Ayant adoré cette personne inhabituelle, j'ai décidé d'y retourner avec un texte racontant son enfance et sa jeunesse, sous le titre Grand-Regard et la jeunesse. D'autres tomes ? Possible!