Ceci est mon dernier article en ce lieu. Depuis qu'Internet a décidé de jeter à la poubelle Arobe Flash Player et que j'ai réclamé un ajustement pour les fichiers de son à la personne en cause, cela en novembre 2020, et qu'on ne m'a jamais répondu, je me sens très désabusé et en colère, parce que mon site musical, le truc le plus intelligent que j'ai pu créer, n'est plus visité car les gens ne peuvent pas écouter la musique de 3,000 chansons, sans Yerk Tube, hein! Ne reste que les textes, fruits de mes connaissances et non des zones grises de Wiki, plein de faussetés dans tous les domaines.
La neige vient de tomber et, ainsi, ma passion 2021 se termine. Je veux parler. bien sûr, de ces nombreuses visites vers mon terrain fantôme,où je me rends écrire et flâner. Du fait, j'y ai créé un roman complet ("La Poudrée du centre-ville") et débuté un autre, que je terminerai cet hiver. Je m'y suis rendu 222 fois, pulvérisant mon record de 89 de l'an dernier. Cela va de la première fois, le 20 mars, alors qu'il y avait encore de la neige, jusqu'au 24 novembre. Pourquoi tant d'occasions ? Simplement parce qu'il n'y a eu que peu de journées de pluie. des septembre et octobre chauds.
Les sujets : les mondes perdus, les mystères de ce qu'il y avait sur Terre avant l'arrivée du p'tit Jésus. Des textes d'archéologues, de savants de toutes sortes, avec des approches intellectuelles, parfois incompréhensibles (trop de références) et à d'autres occasions plus à la portée de tous. Les "Grands succès" sont présents : les pyramides d'Égypte, les statues de l'Ile de Pâques, l'Atlantide (Chouette endroit! J'y ai vécu, dans un vie antérieure.) Il est question de villes disparues (Jéricho, par exemple), de civilisations anéanties, etc. Bien sûr, l'on sait que ces très lointains ancêtres n'étaient pas des idiots, qu'ils connaissaient les mathématiques, l'astronomie, etc. Ce qu'on ignore souvent : certains de ces gens se servaient de proto-avions pour se déplacer dans le ciel, que des extra-terrestres venaient sur Terre et que, par exemple, un homme, 5,000 avant JC, avait dessiné une carte du monde où l'on voyait les Amériques.
Excellente peinture nocturne pour représenter un vieux quartier de la Nouvelle-Orléans. Un disque de 2021.
Ça, c'est le trip écolo néo-hippie qui dit, par exemple, que si je me présente au supermarché avec mon sac, je vais sauver un arbre. Avant de poursuivre, je jette un coup d'oeil à l'extérieur et je compte une douzaine d'arbres. Un coup d'oeil microscopique dans une ville tout autant micro sur sa planète. Alors, des arbres, il y en a des milliards et des milliards.
Le 26 juillet dernier, en apportant des ajustements à mon roman La Splendeur des affreux, j'ai croisé un passage décrivant une réunion amicale dans le cadre d'un Noel de 1820. J'ai alors réalisé que c'était un texte réussi et ai pensé que cette fête était souvent évoquée dans mes romans, publiés ou non.
Vu une dame âgée leur distribuant des graines, puis une autre, avec deux enfants, lançant des miches de pain. Les gamins semblaient émerveillés de participer à cette opération.
Je me rends au terrain fantôme pour écrire presque tous les jours. La première fois, fin mars, il y avait encore de la neige. Je passe par la rue Notre-Dame, car il y a moins de chances de faire face à un masqué. Je suis fatigué de toujours détourner le visage. Par contre, il y a trop de champignons mobiles. Je vais choper un torticolis.
Un phénomène imposant du Québec, depuis une quinzaine d'années (sinon plus) : les dépanneurs propriétés de Québécois abandonnent, ferment et les mettent en vente. Or, ces petits commerces sont récupérés par une organisation aidant les immigrants chinois à faire ces acquisitions. Pas d'Orientaux, Japonais ou de Corée : bel et bien des gens de Chine.
Le premier centenaire à souligner est assurément celui de la photo ci-dessus. En effet, c'est en 1921 que Charlie Chaplin tourne un film important, The Kid, avec le petit Jackie Coogan. Pour la première fois, une comédie pouvait faire pleurer. Si tout le monde connait cette photo, peu de gens ont vu ce film. Croyez-moi, même après cent années, cette production demeure un véritable bijou.