Beaucoup plus tard, j'ai appris que le nom du lac était Coo Coo. Cependant, pour un enfant, Lac Coucou était beaucoup plus naturel. J'ai aussi appris qu'il s'agissait d'un ancien campement de pêche pour les patrons de l'usine de pâtes et papiers Canadian International Paper et qu'il a été ouvert à leurs ouvriers au cours des années 1950. Les hommes n'avaient qu'à réserver à l'avance les moments désirés pour pêcher au cours de leurs vacances estivales.
Il existe un film domestique où on me voit au Coucou et je devais avoir quatre ans. J'ai aussi quelques photos, puis des souvenirs qui sont demeurés émouvants dans mon coeur. Dans mon roman Contes d'asphalte, je raconte mes séjours au Coucou par le voie de mon personnage Martin.
S'y rendre était déjà une aventure. Le campement était situé au nord d'un village du nom de Hervey-Junction. La route était en gravier, très étroite et fonçait en pleine forêt. Mon père devait rouler lentement et être très attentif au volant. Après une demi-heure de brousse québécoise, nous arrivions vers un lieu où il y avait un gardien, puis des barques pour nous rendre sur l'île où étaient situés les chalets.
Enfin sur place, c'était un autre univers. Il n'y avait pas d'électricité dans les chalets, pas plus que de chauffage et d'eau courante. Première solution : des fanaux. Seconde : un gros poêle à bois et il fallait fendre les bûches pour préparer les repas, se chauffer. Enfin, l'eau était disponible via diverses pompes qu'il fallait activer pour remplir des urnes, des chaudrons. J'adorais me rendre aux pompes en compagnie de ma soeur Lise. Je ferme les yeux et j'entends les oiseaux, le bruit de nos pas dans l'étroit sentier. Je respire et me souviens du parfum de l'humidité d'arbres gigantesques.
Vivre de cette façon, pour un petit citadin, c'était une aventure me replongeant dans un siècle passé. Il y avait une grosse glacière à l'extérieur et, pour nos causes naturelles : une petite cabane près de la maison. Dans les chambres : des lits à deux étages. En me couchant, j'entendais le crépitement des bûches brûlant dans le poêle. Les repas ? Des roties comme jamais je n'en ai goûtées depuis !
Parfois, grand-maman Noël nous accompagnait. La fête devenait plus grande. Je me souviendrai toujours de son fils Rodolphe, mon oncle Autobus, qui déposait les vers entre ses lèvres avant de les accrocher à leurs hameçons. Pouah ! Je m'en fichais, de la pêche. Si mon père insistait pour que je l'accompagne, c'était un après-midi perdu m'éloignant du sentier, de la pompe à eau, des oiseaux et de toutes ces splendeurs d'un monde ancien qui a berçé mon enfance à quatre ou cinq reprises et qui m'habitent encore quand je ferme les yeux pour y penser.
La photo : Moi, ma mère Lucienne, mon père Martin et sans doute le gardien.
Avec le recul, je me rends compte que mes jeux individuels étaient très solitaires. Mes jouets favoris étaient les disques. Déjà, j'en bouffais et si j'avais quelques sous en poche, je ne courais pas m'acheter un fusil à eau, mais me rendais chez Belleville pour me procurer des 45 tours. Une chose que ma mère m'a racontée, alors que nous venions de déménager dans la grosse maison de la rue Saint-Irénée alors que les ouvriers n'avaient pas terminé leur travail : les hommes me regardaient, étonnés, parce que j'écoutais des disques avec mon chien en peluche, assis devant le combiné radio-télé-phono. À cinq ans !
Ma petite bicyclette verte. Une seule, au cours de mon enfance. Je pouvais franchir des distances incroyables, atteindre des lieux qui me paraîtraient lointains si je m'avisais de refaire la même chose aujourd'hui. J'avais des plans de Trois-Rivières et du Cap-de-la-Madeleine et mon but était de parcourir toutes les rues des villes. Quand j'en avais bouffée une de A à Z, je la coloriais sur mes plans. Je connaissais les rues aussi bien qu'un conducteur de taxi !
De ces villes réelles, je passais à mes citées imaginaires, dessinées avec soin sur de grands papiers que mon père rapportait de l'usine. Les rues et leurs noms, des zones commerciales, des écoles et églises, des feux de circulation, etc. Les papiers dépliés, j'en assemblais plusieurs et faisais rouler mes petites autos de plastique sur ce lieu né de ma création. Je ne comprends pas pourquoi je ne suis pas devenu architecte !
Le reste ? Comme les autres enfants : Tintin + Mickey la souris, des cartes de hockey et des cahiers à colorier, trois peluches : deux chiens et un singe du nom de Coco. Ne cherchez pas à me psychanaliser : j'aimais me cacher pour lire mes bandes dessinées, regarder les cartes. Sous le lit, dans le fond des penderies. J'écoutais la radio sous mes couvertures. Tard le soir, je pouvais capter de mystérieuses stations américaines. Entendre les Beatles en provenance de New York, c'est quelque chose que je ne pourrai jamais oublier.
La photo : ma chambre à coucher, avec le chien de peluche bien en place. Regardez le petit meuble, puis la boîte : plein de ces longs papiers avec mes villes dessinées. Sous le lit, on aperçoit le coin d'une autre boîte. Idem. À bien y penser, je n'aurais pu être architecte. J'ai appris à devenir écrivain en dessinant des villes.
1. Florentin le 22-02-2016 à 09:53:48 (site)
Je n'étais, enfant, un adepte des jeux individuels. Mais, nous étions cinq dans la fratrie et on passait notre temps dehors, même l'hiver. Je ne me souviens pas, par exemple, avoir jamais joué à ce qu'on appelait alors les "jeux de société" (dames, dominos, cartes et compagnie). ce qui ne nous empêchait d'avoir des jouets personnesl auxquels on tenait. Pour ce qui me concerne, en particulier, un pistolet métallique de marque "Solido" et qui me suivait partout.
2. MarioMusique le 22-02-2016 à 11:04:28 (site)
Ah, Solido ! Les meilleurs ! Chez moi, j'étais le seul enfant. Mon frères et mes soeurs étaient adolescents. En fait, je continue à jouer seul...
Merci !
3. Nikole-Krop le 22-02-2016 à 18:02:08 (site)
J'aime bien quand tu racontes tes histoires à toi, celles de ta vie.
Tu auras toujours été un solitaire.
(Le solitaire, ce n'est pas un bijou précieux ... :-) ...)
4. Nikole-Krop le 22-02-2016 à 18:03:05 (site)
... même si j'ai, à la fin de la phrase, oublié le point d'interrogation ...
Des jeux de gars, hein ! Parce que les filles... Je ne connaissais pas ça. M'enfin, elles s'amusaient à certains de ces jeux, mais pas tous.
D'abord : jeux d'hiver. Glisser ! De toutes les façons : tête première, sur le dos, avec une traîne sauvage. Il fallait une pente ! Très imposante, si possible. Je pouvais marcher loin pour jouir d'une belle pente, particulièrement celle au bout du boulevard de Grandmont. Des générations d'enfants de la ville s'y donnaient rendez-vous. Ensuite : le hockey bottine. Dans la rue et surtout pas ailleurs. Des joutes sans fin, du moins jusqu'au premier cri d'une mère : "Mario, viens souper !" L'ennemi du hockeyeur bottine : l'automobiliste, surtout ceux qui faisaient exprès pour écraser une de nos boules de neige délimitant notre zone des buts. Il y avait aussi le hockey en patin, mais j'ai appris à patiner tardivement. Donner naissance à des bonshommes de neige, c'était aussi sympathique, mais je n'avais pas le talent nécessaire pour sculpter un chien dans la glace.
Jeux d'été. Je vais passer rapidement sur le ballon coup de pied, car ça ne se jouait que dans la cour d'école. Un peu le même principe que le hockey, mais en donnant des coups de pieds sur le ballon. Un type d'ancêtre du soccer et c'est sans doute pourquoi je n'ai jamais aimé. Les garçons, ça jouait à la guerre, aux cow-boys, aux détectives, etc. Nous avions droit à un magnifique boisé en forme de pente, plein de sentiers zigzaguant. Vous savez quoi ? Ce lieu magique, le long de la rue Lupien, existe encore de nos jours et des enfants s'y amusent. Pour le baseball, je m'y suis mis tardivement, n'ayant pas aimé ce sport avant la fin de mon enfance. Quand il n'y avait pas assez de gars pour former deux équipes, on jouait au fly. Un gars frappait la balle et le premier qui captait deux ou trois flys avait le droit de devenir le frappeur. À ces deux particularités, frapper et capter, j'étais nul.
Les Quatre coins ! Idéal pour la cour d'école. Avec nos chaussures, on dessinait un carré, disposant quatre gars à chaque coin. Il y en avait un au milieu, à l'affût. Situation : L'enfant du coin A regarde celui du coin B et décident de changer de place. Courir, courir ! Considérons que le A n'a pas été assez rapide et que le gars du milieu arrivait avant lui au coin B, le A devenait celui du milieu. Attention aux collisions !
Le vélo et ma petite torpedo ! Avec ces deux véhicules, on jouait au "Saut de la mort". Un gars poussait la torpedo vers une pente, puis elle s'envolait vers un tas de boîtes. Bang ! Bang ! Nos parents n'aimaient pas tellement...
La tague ! Un ou deux désignés avaient comme mission de courir vers d'autres enfants en mouvement et de les toucher. La victime devait s'immobiliser, mais pouvait être délivrée par un de ses compagnons. Une variante : la tague malade. Si le désigné touchait sa victime à la jambe, le con devait demeurer immobile avec une main sur une jambe.
La cachette ! Pas compliqué : on se cache et un autre doit nous trouver. J'excellais à me cacher dans des endroits les plus improbables, à cause de ma petite taille. Nous avions une variante sophistiquée, dans l'entrepôt du commerce de mon père. Les gars se cachaient où ils pouvaient et quand tout le monde était terré dans un coin, ceux qui devaient chercher le faisaient à la noirceur, en se servant cependant d'une lampe de poche. Comme je connaissais tous les coins de cet entrepôt et que je pouvais m'infiltrer derrière des caisses, je devenais tant introuvable que tous les gars, en choeur, gueulaient : "T'as gagné, Mario ! Arrête de nous niaiser et sors de ton trou !"
Je me demande si les enfants du 21e siècle connaissent ces jeux... On ne voit plus de hockey bottine dans les rues, mais j'imagine que glisser et courir fait partie de l'éternel enfantin.
1. Florentin le 20-02-2016 à 10:50:10 (site)
Tous les enfants du monde sont les mêmes. Nous avons pratiqué ici, gamins, la plupart des jeux que tu décris. Se pratiquent-ils encore aujourd'hui ? J'aimerais à le croire. Dans les cours de récré des écoles peut-être. Mais, ces sacrées petites machines électroniques dont sont maintenant pourvus tous les jeunes et y compris les enfants ont sabordé un certain nombre des activités ludiques physiques qu'ils devraient normalement pratiquer..
édité le 20-02-2016 à 16:51:43
2. MarioB le 20-02-2016 à 13:58:39 (site)
Il y a certes des points communs. Il n'y a qu'à passer par un rayon des jouets dans une grande surface pour voir des ballons, des poupées, des oursons de peluche, l'attirail du petit sportif.
Il y a une école, près du parc où je me rends écrire, et j'entends des enfants jouer. Je sais qu'ils jouent au ballon.
Merci !
Ce que vous voyez est une publicité trouvée au début du numéro de novembre 1956 du Sélection du Reader's Digest, édition canadienne. J'avais trouvé une pleine boîte de ces revues destinées à la poubelle et données par une personne inconnue à la bibliothèque où je travaillais, autour de 1985. J'avais apporté tout ça chez moi, je ne sais trop pourquoi, mais le destin les a remis aux ordures lors de mon déménagement de 2005, provoquant ainsi des hauts cris effrayés chez ma soeur Lise. J'avais gardé quelques numéros.
Une source me dit que cette revue est née en 1922, vendue alors par correspondance, mais qu'elle serait arrivée dans les kiosques en 1929. La copie que j'ai parle plutôt du volume 19, donc, la fondation serait de 1937, mais il s'agit sans doute de la première année de la version française destinée au Canada. J'ai grandi avec ces revues, car ma mère en était friande. On pouvait les voir dans les tourniquets dans les comptoirs à tabac, dans les gares, dans les supermarchés. 25 sous pièce, c'était abordable ! Cette publication existe toujours de nos jours.
La dernière chose que je regarderais aujourd'hui dans une revue, c'est la publicité. Dans le cas de cette survivante de 1956, c'est la première chose qui m'attire ! On y croise un joli charme nostalgique, où les femmes heureuses et jolies sont à leur cuisine, présentent des bijoux, recommandent du savon à lessive ou des petits gâteaux et peuvent apprendre à jouer de l'orgue. Les hommes sont souriants, fument la pipe, portent des chapeaux, des vestons et des cravates et leurs intérêts vont des voitures 1957 jusqu'à la bonne bière Black Horse, sans oublier des montres bracelets étincelantes. Les illustrations sont charmantes.
Quels articles dans ma revue ? Le cheval qui s'était fait ermite. 'Faudrait que je lise celui-là... Misères et mystères du lumbago. Ça ne me concerne pas encore... Boom dans les supermarchés. D'ailleurs, ça n'a pas cessé. L'être le plus extraordinaire que j'ai connu. Ceci revenait à chaque numéro. Comment disparut la tourterelle au Canada. Je me posais la question, ces jours derniers ! Afghanistan : terre des hommes libres et fiers. Ça a quelque peu changé...
1. Nikole-Krop le 17-02-2016 à 03:32:28 (site)
Oh Mario, si tu savais les souvenirs que tu remues en moi avec ton article. D'abord avec cette image qui parle d'une lessive qui n'existe plus (?) mais que ma mère utilisait quand j'étais gosse (j'ai souri un jour en voyant Neil Young habillé d'un T-shirt avec une pub Tide :-) mais surtout à cause de cette revue qui abaigné toute mon enfance et que je critiquais mais dont je ne parvenais pas à me passer. En rentrant de l'école, je goûtais souvent en écoutant Salut les copains et en lisant le Readers' (comme quoi je critique les djeuns qui font plein de choses en même temps mais je faisais pareil !) Je critiquais mais je regardais, faut dire que c'étaient les seules choses à lire à la maison. Je me souviens très bien de : L'être le plus extraordinaire que j'aie rencontré, et aussi de : Enrichissez votre vocabulaire. Pour des raisons absconces et toujours étranges, moi qui garde tant de papiers et de choses "inutiles" je me suis débarrassée de tout ça quand j'ai vidé la maison de mes parents : c'était pourtant une belle turbine à souvenir d'enfance, moi dont c'est, quoi que j'an dise, le pays, l'enfance, dans ce qu'elle a de rêves à vivre, non encore ouverts.
2. Nikole-Krop le 17-02-2016 à 03:33:25 (site)
Pardon pour les fautes.
3. MarioB le 17-02-2016 à 12:11:56 (site)
Ah, mais alors bravo ! Chez moi aussi, c'était la seule chose à lire, avec l'almanach annuel !
La marque Tide existe encore, au Québec.
Merci !
4. jakin le 17-02-2016 à 12:43:54 (site)
Bonsoir Mario, J'en ai moi aussi lu quelques uns...C'était le magazine complet qui remplaçait la TV actuelle.....
5. MarioMusique le 17-02-2016 à 13:55:55 (site)
Peut-être... Au cours des premières années, c'était un bel outil de promotion pour les livres, puisque les "Sélections" étaient des extraits de livres.
6. Florentin le 17-02-2016 à 14:53:36 (site)
Salut Mario ! J'ai aussi été abonné à "Sélection du Reader's Digest". Je me souviens que celui-là était d'esprit et d'écrits américains (traduits évidemment), mais avec ds textes d'origine française aussi. C'était intéressant en ce sens qu'on y parlait de tout. Il y avait encore, en fin de ces numéros, un "roman " en réduction. Je ne les ai pas gardés. Dommage !
7. MarioB le 17-02-2016 à 17:47:28 (site)
Il y avait sans doute des adaptations pour les différents pays, dont le Canada.
Merci pour ce commentaire.
Je pourrais vous évoquer les occasions où j'ai bu une bière depuis le début du siècle. La dernière fois date de 2008. Depuis : pas une goutte. Pas à cause d'une conviction face à la religion hygiénique, pas par goût non plus. Je pourrais sortir, marcher jusqu'au dépanneur, acheter une bouteille et la boire. Seulement, ce n'est plus mon truc. Quand il n'y a plus de plaisir face au geste, on l'oublie sans y penser.
Pourtant, j'ai consommé de la bière comme un groinfre. Je fréquentais les bars alors que j'étais mineur. J'étais sans cesse dans les bars, particulièrement au Rio. Prière de lire l'acticle à ce sujet et de ne pas oublier la réaction de quelques inconnus :
http://tuttifrutti.eklablog.com/le-rio-de-trois-rivieres-a57679879
Il y avait le Rio, le Trou, la Fiole, tant d'autres. Hors des murs des bars, il existait des occasions, pour tout : spectacle en plein air, visite des copains, écouter de la musique. J'ai déjà été saoul jusqu'à vomir ? Des tas de fois. Cependant, la consommation a commencé graduellement à diminuer après l'incendie du Rio, et surtout quand je suis retouné aux études, en 1993. Je n'avais tout simplement plus d'argent pour les bars et la bière. Je me souviens de quelques fins de session avec des étudiants ou des profs, mais je ne demeurais que le temps d'une bouteille.
Le plaisir s'était estompé, tout simplement. Pourtant, je sens que cette culture m'habite encore et j'aime ce qui lui est relative. Il y a des passages dans mes romans, des chansons, et le projet d'écrire un roman en souvenir du Rio. J'ai levé le coude à n'en plus finir, jusqu'à ce que cela devienne une habitude. Que de la Molson !
Mes dernières bières depuis le début du siècle ? En 2001, à Ville-Marie, lors du salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue. Fête avec les copains de la tournée. 2005 : lors de mon déménagement. J'avais acheté une caisse de six bouteilles pour remercier mes aides et j'avais bu une bière en leur compagnie. 2006 : à la limite de la date butoir interdisant de fumer dans les bars. J'avais salué cette partie de ma jeunesse en compagnie d'un lointain ami de passage. La dernière fois : en 2008, en sortant d'une rencontre de baseball avec un ami. Il y avait l'expo agricole tout à côté et nous avions fait une tournée pour regarder et le copain m'avait payé une bouteille.
Pendant ce temps, il y a eu des problèmes alcoolisés avec deux membres de ma famille et cela me touchait beaucoup... Pas de regrets de ma part : boire faisait partie de l'air du temps. La vie et la liberté étaient une fête et j'ai croqué la pomme.
La photo : Jeune Mario B avec une bouteille de Molson à sa portée.
Le fichier audio : Plume Latraverse et Tant qu'on pourra.
1. Nikole-Krop le 14-02-2016 à 02:35:55 (site)
Jolie photo, et un billet que j'aime bien.
J'aime bien la bière, légère, l'été, et j'ai commencé très tard à en boire (48 ans) :-)
Ce n'est pas vraiment ma "tasse de thé" :-), donc, mais c'est une culture du boire que je trouve très intéressante.
3. jakin le 15-02-2016 à 11:47:25 (site)
Bonsoir Mario, Ha ! La bière ! Je me rappel d'une bière alsacienne accompagné d'un verre de Kirch... j'ai finit dans les bras de Morphée, chaloupé comme une vieille barrique....
4. MarioMusique le 15-02-2016 à 14:02:31 (site)
Pour ma part, je prenais toujours la même chose et n'ai à peu près jamais bu d'alcool fort de ma vie.
Le petit va bien, mais j'avais oublié ce que c'était d'avoir un bébé et un mâle, d'autant plus que ma chatte, à cet âge, n'était pas tant excitée. Hyperactif, monsieur Salomé!
Il joue beaucoup, sans pouvoir s'arrêter. J'essaie de me prêter à ses ébats, car c'est amusant à regarder, un chat qui fait des culbutes, produit du va-et-vient avec ses pattes pour saisir une souris-jouet, la prendre dans sa gueule et la lancer dans les airs. Dans le salon, il y a deux vieux fauteuils, l'un en face de l'autre. Salomé passe de l'un à l'autre sans toucher terre. Couché sur le sommet, je lui lance une balle dans le couloir et il ne prend pas le temps de descendre : il saute à sa poursuite. Du vrai vol plané ! De plus, en capturant sa proie à la fin de sa course, il glisse et dérape. Particulièrement spectaculaire. La première chose que je fais à mon réveil : retrouver les balles et les souris qu'il a égarés. Derrière un meuble, dans un coin reculé.
Sur la feuille d'évaluation de la SPA, il était indiqué "Pot de colle". J'ai vite compris ce que cela voulait dire : il se "colle" sans cesse sur moi, à la recherche de caresses, d'affection. Il ronronne beaucoup et très fort. Quand je me mets au lit, il arrive, se lance vers mon visage et ronronne. Pas idéal pour s'endormir... Si je change de côté, il suit le mouvement. De plus, si le coeur lui en dit de jouer à 5.30 AM, il grimpe sur le lit et envoie la souris partout et ça me réveille. Il y a trois jours, je me suis fâché et j'ai fermé la porte derrière lui. Pas content : il s'est mis à gueuler sans pouvoir s'arrêter.
Explorateur ? Il n'a pas terminé de tout voir. Comme indiqué dans un autre message, Salomé est très intrigué par la baignoire. Il a cependant réussi à la vaincre, à y descendre, accompagné d'une souris. Une autre histoire quand je fais couler l'eau. Hier, pour la première fois, il a réussi à monter vers l'espace du comptoir du lavabo. Il regardait tout, mettait sa tête dans le tiroir que je venais d'ouvrir, mais quand j'ai fait couler l'eau, le cher enfant a tout arrêté pour regarder, les yeux très ronds.
Il a aussi découvert la fenêtre de la cuisine, mais c'était très haut et il n'arrivait pas à grimper. Je lui ai donné un coup de main et il examinait l'extérieur. Il le fait aussi dans le salon, mais quand je lui ai ouvert la porte du balcon, il a vite reculé devant tant de froid.
Est-ce qu'il comprend son nom ? Non. Trop tôt. Mon urgence est de lui faire comprendre NON ! Il a un défaut que je n'aime pas : tenter d'atteindre mon assiette quand je mange. Alors, c'est NON sur NON et il commence un peu à saisir.
Deux choses étonnantes : il est assez petit pour mettre sa tête dans un verre ! Puis, il voit la pointe de la souris sur l'écran d'ordinateur, la suit du regard. Je ne savais pas que les chats pouvaient voir ce qu'il y a là dessus. Ah, autre fait : il mange beaucoup. Il a de longues pattes, une queue appréciable, ce qui laisse deviner qu'adulte, il sera un chat au physique imposant.
Tout ceci est distrayant et m'aide à oublier la chatte. Pas tout à fait, cependant...
3. Nikole-Krop le 09-02-2016 à 09:48:57 (site)
Contente d'avoir des nouvelles du petit félin : je les attendais ...
4. jakin le 09-02-2016 à 11:00:08 (site)
Bonsoir Mario, je vois que tu es très occupé par Salomé...que va-t-il faire quand tu vas écrire ?
5. MarioB le 09-02-2016 à 14:11:49 (site)
Nikole : le problème est que je n'ai pas d'appareil photo pour vous montrer l'enfant. Je viens d'en acheter un jetable ce midi mème et moi, l'idiot, ne me suis pas rendu compte que c'était pour l'extérieur seulement. Vous risquez davantage d'avoir des photos de rues pleines de neige que du petit.
Jakin : Pour l'instant, il ne fait rien de particulier pendant que j'écris.
6. MarioB le 09-02-2016 à 14:16:04 (site)
Ah, Nikole, j'oubliais : la photo ci-haut a été prise par ma soeur, alors que nous étions à la SPA. Une des premières fois où j'ai tenu le petit mec.
7. banga le 11-02-2016 à 10:40:29 (site)
Bravo l'ami Mario c'est un très beau geste que beaucoup de personne devrai faire à savoir l'adoption d'animaux abandonnés et notamment les chats comme le tien .
Il est beau et s’adapte bien à ta vie à te lire c'est sur qu'à cette age là ils ont besoins de réconfort , je suis sur que monsieur Salomé va t'apporter beaucoup de bonheur je terminerai par cette citation : Si vous êtes digne de son affection, un chat deviendra votre ami mais jamais votre esclave.Théophile Gautier .
Bonne fin de semaine @+
Ils sont fous, ces Romains ! Pas très futés, à vrai dire... La façon de venir à bout des Gaulois s'est dessinée d'album en album.
En premier lieu : la chance ratée par excellence ! Dans Le Combat des chefs, le druide a perdu la raison et ne sait plus préparer la potion magique. Or, il n'y en a plus une goutte dans le village. Le centurion suggère d'attaquer, car les Romains sont plus nombreux. Son bras-droit lui répond qu'il est inutile de prendre ce risque, car le chef gaulois Aplusbégalix a provoqué Abraracourcix au combat et qu'il fera le travail pour eux. Une occasion en or qui ne reviendra pas !
Oui mais, Obélix ? Il peut vaincre une garnison à lui seul. Il n'y avait qu'à l'attirer hors du village. Vers un troupeau de sangliers, par exemple.
Une scène importante, dans Le Fils d'Astérix. Brutus et une garnison romaine attaquent le village au cours de la nuit en l'incendiant. Réussite ! 'Sais pas trop comment le druide a réussi à préparer la potion si rapidement, hein... Quoi qu'il en soit, les Romains auraient dû noter que tous les Gaulois dorment la nuit et qu'en plus d'incendier le village, les légionnaires devraient attaquer l'ennemi sans potion et désarmés, pour la plupart.
Attaquer pendant que le druide est absent. Cela n'arrive pas souvent ! Parfois, il se rend à une réunion. Dans Astérix chez les Goths, Panoramix est accompagné par Astérix et Obélix. Pourquoi ne pas avoir attaqué au cours de ce moment idéal ? Oui mais... Il y avait sans doute une marmite de potion dans la hutte de Panoramix. Mais en brûlant et en attaquant au cours de la nuit, les Gaulois n'auraient pas eu le temps de riposter.
Dans Astérix et les jeux olympiques, il n'y a que des femmes et des enfants dans le village, tous les hommes étant partis aux Olympiques. Pas très sport d'attaquer des femmes, mais tout de même, pour cette noble cause à la gloire de César, on ne fait pas dans la dentelle. Un autre chance incroyable ratée.
L'important est d'attaquer pendant les absences d'Obélix, de le faire la nuit et de se servir du feu.
1. Nikole-Krop le 06-02-2016 à 02:28:27 (site)
Quel stratégique barbare (toute guerre est une barbarie) tu aurais fait ! :-)
J'étais loin d'avoir ces réflexions quand j'ai lu ces BD ... il faut dire que je l'ai fait au collège ...
Point de vue intéressant !
2. MarioB le 06-02-2016 à 13:33:20 (site)
C'est peut-être parce que plusieurs de ces romains sont sympathiques.
3. jakin le 07-02-2016 à 12:06:14 (site)
Bonsoir Mario, j'ai dévoré ces bandes dessinées adulte et j'attendais avec impatience la sortie des derniers numéros avant que Goscinny décède....Uderzo à continué mais ce n'est plus pareille...
4. Florentin le 07-02-2016 à 12:50:14 (site)
Salut l'ami ! Cela fait un bout de temps que je ne suis pas venu ici. Le temps nous manque, mon bon monsieur ! Astérix et Obélix, supermen ! Bof ! Des dopés, oui ! Pas très moral tout ça !. Mais tellement marrant !
5. MarioMusique le 07-02-2016 à 14:10:38 (site)
Jakin : Bien d'accord : un déclin après la disparition de Gosciny, bien que deux ou trois albums étaient OK. Sais pas quels sont les résultats avec la nouvelle équipe.
Merci Florentin. Oui, Obélix prend des stéroides !
Au Québec, au cours des années 1970, il y avait beaucoup de folklore. Beaucoup trop... Comme tant d'autres, j'ai eu un ras-le-bol du style, mais en 1975, je n'en étais pas encore là. Le disque que je préférais était le premier d'un trio baptisé Le Rêve du Diable. C'est d'ailleurs le seul disque de cette époque et du style qu'il me reste. Ces gars-là étaient festifs, ne se prenaient pas au sérieux. À ce moment-là, on pouvait voir des spectacles d'artistes avec un ou deux disques sur le marché pour aussi peu que trois ou quatre dollars. Le Rêve du Diable à Shawinigan ? Profitons-en! Alors, avec mon compagnon de spectacles, Gilles, nous avons mis le cap vers ce petit bar où se produisaient les héros du jour. Festif, on ne peut plus ! Le public consommait de la bière à n'en plus finir, dansait entre les tables, tapait dans les mains, chantait, et les musiciens faisaient la même chose. Le souvenir d'une grande fiesta de houblon !
Le fichier audio est un pot-pourri de deux chansons de camps de bûcherons, appelés les Chantiers : Les voyageurs de la Gatineau + La chanson du voyageur. Si vous désirez giguer davantage, suivez ce lien :
http://mariomusique.vefblog.net/11.html#Folklore_quebecois__Le_reve_du_diable
1. Nikole-Krop le 04-02-2016 à 03:46:59 (site)
Ah ! délices de la langue française ! Si le contexte désambiguise souvent le propos (ce qui est le cas ici) je rêvasse en souriant devant ta phrase :
"Festif, on ne peut plus" avec ses deux sens possibles quand elle est écrite : on ne peut "plu" ou on ne peut "pluss" ah ce "plus" !
3. jakin le 04-02-2016 à 10:54:11 (site)
Je connaissais la musique de la première chanson, mais avec un texte de chanson paillardes....
4. MarioB le 04-02-2016 à 11:57:36 (site)
Vrai ? Ce qui est typique du folklore est qu'on peut changer les paroles et le sens.
5. Nikole-Krop le 04-02-2016 à 12:51:52 (site)
Bien sûr !
Mon nouveau chat est un bébé. Il ne connait rien. Il explore, découvre. 'Sais pas comment il a réussi à grimper sur la dernière tablette de la bibliothèque, mais il devait voir ce qui s'y trouvait. Né en novembre dernier, Salomé n'a jamais vu d'oiseau, d'insectes, jamais marché dans l'herbe, ni vécu une journée ensoleillée. Parmi sa plus étonnante découverte : ma baignoire. Le son de l'eau l'a beaucoup intrigué... Quand je m'y suis glissé, il a posé ses pattes sur le rebord, puis regardait d'une façon stupéfaite, se demandant ce que tout ça signifiait.
En ce vendredi : un fusible d'un appareil ménager a rendu l'âme. J'ai pris le risque de passer au dépanneur du boulevard, au cas où ils en auraient à vendre. Le garçon derrière le comptoir m'a dit : "Un quoi ?" Fusible ! "Hein ?" Il ne savait pas ce que c'était ! Rare, non ?
Notez bien qu'on ne peut pas tout connaître. Sinon, on exploserait. Par contre, il y a un "Connais pas" qui m'intrigue beaucoup. C'est lorsque les gens passant sur mes sites musicaux, écrivent cette phrase dans la zone de commentaires. Comme s'il fallait connaître pour écouter. Je n'ai jamais pu interpréter ce constat, savoir si c'est un "Peuh..." Comme si nous pouvions connaitre toute la musique ! Parenthèse : (Je suis étonné de constater comme les gens ne connaissent pas des artistes très en vue. Vrai que la musique populaire n'a jamais été enseignée. Elle le devrait. On enseigne la peinture, la sculpture et le cinéma, non ?)
Dans le domaine du "Connais pas", voici mon plus grand succès. La scène se passe au salon du livre de Montréal, il y a une douzaine d'années. Je présente mes romans à une femme, qui a la politesse de m'écouter et qui ne voit pas ce que j'aperçois : rassemblement derrière elle, des tas de gens qui regardent dans notre direction. Quand la femme est partie, la responsable du kiosque m'a révélé la vérité : cette femme était une grande vedette de la télévision. "Ah bon ? 'Connais pas." J'étais sans doute le seul parmi cette foule à ne pas savoir qui c'était. La seule chose que je sais est que je lui ai parlé pendant dix minutes et qu'elle n'a pas acheté un de mes romans.
1. anaflore le 30-01-2016 à 03:39:25 (site)
heureusement qu'il nous reste des choses à connaitre et malheureusement la vie n'est pas assez longue pour ça !!
j'ai fait ma valise demain je repars sur mon ile et j'y ai mis une provision de livres,de vidéo,de patchwork à faire car là bas je n'ai pas de téléphone,pas d'internet et l'hiver pas de voiture ,pas de star ....et plein de moutons
je ne sais pas combien de jours c'est billet open le seul ennui c'est que la mer est agitée.......
il a l'air sympa ce petit chat
bon wk
2. jakin le 30-01-2016 à 12:50:22 (site)
Bonsoir Mario, j'ai l’impression que tu es le Platon du Québec...Le "connait pas" me fait penser à la philosophie platonicienne du "connait toi toi-même"...Vaste débat dans les méandres de la connaissance et du savoir !
3. MarioMusique le 30-01-2016 à 15:22:09 (site)
Platon Bergeron ?
4. Grand-Langue le 31-01-2016 à 00:55:44 (site)
Le "connais pas" a le mérite d'amettre qu'on ne connaît pas tout, contrairement aux gens, très désagréables, qui prétendent tout connaitre.
Grand-Langue
5. MarioB le 31-01-2016 à 01:08:06 (site)
Merci pour ce commentaire. Non, on ne connaît jamais tout, même dans les domaines où on connait beaucoup de choses. Dans mon cas : la musique ! Cette sphère me paraît infinie...
Mon deuil n'aura duré que deux jours, mais très difficiles. La meilleure chose à faire est de se procurer rapidement un autre chat. Comme dans le cas des cinq autres, je l'ai acheté à la Société Protectrice des Animaux. D'une part, c'est un organisme à encourager. D'autre part, il y a de meilleures chances pour que l'animal ne cause pas de problèmes. Bien que...
Mon but était d'avoir une chatte tigrée, comme tous mes autres. Il y avait une candidate, baptisée Jolie, d'un an et demi. Le hic est que cette reine était très excitée, miaulait beaucoup et fort. Maux de tête en perspective... La responsable m'a suggéré une autre chatte, blanche et noire, qui ronronnait très fort, se frottait contre moi. Le problème était qu'elle avait trois ans et qu'elle était... très grosse! J'ai tout de même passé près de dire oui, quand ma soeur et son mari n'en avaient que pour un châton qui les faisait rire avec ses culbutes, dans un petit local d'exercice réservé aux animaux.
Quand je suis passé pour le caresser, j'ai oublié mon idée de femelle et de tigré. Ce petit mec de trois mois a gagné la palme. Il est gris foncé, avec un nez noir.
Le voyage dans l'auto, alors que je le transportais dans une boîte, a été un cauchemar pour le cher enfant. En entrant à la maison, j'ai ouvert la boîte et il est parti dans toutes les directions, la tête comme une girouette. Je n'arrivais pas à le saisir, car je voulais immédiatement lui montrer la litière, devinant que ce voyage avait été stressant pour lui et qu'il avait envie de pipi. C'est exactement ce qui est arrivé.
Dès lors, le chat a continué à faire ce qu'il nous avait montré à la SPA : lancer sa souris dans les airs, lui donner des coups de patte. Parfois, il courait vers moi, se frottant en ronronnant très fort. J'avais oublié que les châtons avaient tant d'énergie. Pas une seconde de répit entre 16 et 19 heures. ll a eu le temps d'égarer trois souris. Je ne sais pas s'il va miauler toute la nuit, mais ce chat semble sociable et affectueux. Nous allons bien nous entendre. Deux visites chez un vétérinaire seront nécessaires, car il manque quelques doses à ce mec.
Ah, au fait, garçon ou pas, il va porter le nom de Salomé. La photo provient du site internet de la SPA.
2. MarioMusique le 27-01-2016 à 16:02:00 (site)
Merci. Non, il n'a pas miaulé la nuit entière, mais ronronné dans mes oreilles, même quand je changeais de position...
3. Nikole-Krop le 28-01-2016 à 08:42:09 (site)
Une nouvelle histoire d'amour qui recommence ...
(Je suis toujours troublée de constater que tu donnes le même nom à toutes tes bêtes : ce n'est pas mon problème, et pourtant ça me "gêne" énormément, comme si chaque être était interchangeable, et comme pour perpétuer une sensation artificielle d'absence de mort ou de déni : ça me rappelle l'histoire de ce couple qui, ayant appelé un bébé Maud, petite fille qui est morte, ont appelée la suivante ... Maud ... ! Pardon, tu fais ce que tu veux, mais ça évoque en moi des choses profondes je pense)
Bienvenue au chaton, absolument craquant! Et bonne journée à tous les deux.
4. MarioB le 28-01-2016 à 14:21:33 (site)
Nikole : désolé de te troubler. Voici pourquoi : Le premier chat s'appelait Salomé et quand j'ai eu le second, je lui avais donné un autre nom, mais j'étais incapable de le dire, pensant trop au disparu. Alors, j'ai simplement continué la dynastie.
Ce petit avait un nom désigné par la SPA, mais je ne l'aime pas : Moquin. De plus, à cet âge, il ne comprend pas encore son nom.
C'est fou comme il est plein d'énergie ! Dommage de ne pas avoir de caméra pour présenter ceci ici.
5. Claire-Lyse le 01-02-2016 à 13:45:24
Re bonsoir,
Bienvenue à ce chaton au regard déjà .. attachant !
Il trouvera vite ses marques ...
Au plaisir,
Claire.
6. MarioMusique le 01-02-2016 à 15:55:21 (site)
Il bondit partout ! Il n'a pas mis beaucoup de temps à se sentir chez lui. Merci.
7. elena13 le 02-02-2016 à 15:22:42 (site)
Bonsoir Mario, merci de ton passage sur mon blog !!!
Je trouve que la photo de ta chatte (ou ton chat) Salomé est belle (ou beau).
Mon chat Luigi (en hommage à Luigi, le frère de Mario le plombier moustachu de jeu vidéo) va bien, il a 8 mois et demain, mon chat va être castré chez le vétérinaire....
8. MarioB le 02-02-2016 à 16:37:44 (site)
Eh bien, Héléna, c'est un garçon, comme indiqué dans l'article. À la SPA, tous les chats et chiens sont maintenant stérélisés, ce qui est une bonne chose.
Commentaires
1. jakin le 24-02-2016 à 11:17:26 (site)
Bonsoir Mario, on ne peut pas dire qu'il n'y a pas un air de famille....Beaux souvenirs d'enfance....
2. MarioMusique le 24-02-2016 à 12:13:28 (site)
Je ressemble à ma mère. Avec l'âge, je perds mes cheveux autant que mon père !