Je me suis branché Internet en 1997 et j'ai tout de suite cherché à échanger avec des femmes européennes, en souvenir de mes correspondantes postales de ma jeunesse. Je n'ai cessé depuis. Il y en a eu de toutes sortes : des personnes qui n'écrivaient pas longtemps, mais, par contre, d'autres qui ont été fidèles et attachantes, dont une femme de la banlieue parisienne, avec qui j'ai échangé pendant huit années et avec qui j'étais devenu intime. Il y a eu toutes sortes d'émotion, entre autres pour une amie qui est décédée en cours de route. La plus gentille de ces femmes était aussi de Paris. Je lui ai écrit pendant trois années, presque chaque jour, mais en juin 2014, pour des raisons personnelles, elle a décidé de cesser, ce qui m'a fait de la peine.
Quelques semaines plus tard, je m'ennuyais de ne plus recevoir de messages et j'ai donc décidé de me trouver une autre copine. J'allais vivre la pire période de ce loisir. Je crois qu'il est passé par mon ordinateur huit femmes, dont certaines qui n'ont envoyé que trois messages. Rarement en haut de dix. Mais en décembre, une femme semblait vouloir échanger avec moi. Le hic est qu'elle m'écrivait sur un Ipod (ou peu importe le nom que l'on donne à ces jouets). Ma fìdèle amie l'a fait à quelques occasions et ses courriels étaient toujours très courts. Or, cette nouvelle ne faisait que ça et ses envois ne comptaient pas plus que quatre lignes. De plus, elle les envoyait à même mon message précédent, ce qui faisait un peu impersonnel. C'est comme si vous envoyez une lettre et que la personne vous répond à l'endos de la feuille.
Je lui ai demandé de cesser cette manie, de prendre son temps pour me répondre. Nenni : je continuais à recevoir des messages qui ressemblaient à des télégrammes. Cela me frustrait de penser que cette femme m'écrivait dans un autobus, en attendant son repas dans un restaurant, à sa pause-café ou quoi que ce soit. Cela me donnait l'impression de ne pas être une "activité importante". Alors, il y a eu heurts, puis cessation, suivi d'un message de haine de sa part.
Cela m'a tellement frappé que, depuis, pour la première fois depuis 1997, je n'ai pas cherché à trouver une autre amie. Communiquer, c'est quelque chose d'important, de précieux. Je ne crois pas que les Ipod soient de réels objets de communication. Peut-être que je vais tenter plus tard, mais pour l'instant, cette dernière expérience m'a fait perdre des illusions face à la communication.
Le Gajagaja est une étrange bête que l'on peut croiser en Afrique centrale. À moitié insecte et à moitié animal, le Gajagaja est un être très imprévisible, possédant un estomac élastique, pouvant contenir une grande quantité de nourriture. Le Gajagaja se nourrit de tout ce qu'il voit, sans distinction. Il se déplace silencieusement, si bien que ses victimes humaines ne l'entendent pas approcher. Alors retentit le cri terrible du Gajagaja : SLURP ! SLURP ! SLURP ! Le Gajagaja vit environ une trentaine d'années. La femelle pond une douzaine d'oeufs au cours de la saison des amours. Trois petits ont l'habitude de survivre. Les Gajagajas vivent en communauté, tout en chantant gaiement. Histoire terrifiante : en juin 1981, onze représentants d'un zoo allemand ont tous été absorbés par un seul bébé Gajagaja, ainsi que leur camionette.
1. manene le 07-02-2015 à 14:02:50 (site)
Evidement je me suis précipitée dans mon moteur de recherche pour voir...en vrai ce petit être bizarre...Il doit certainement avoir la même tête que j'ai devant mon pc, c'est à dire mort de rire.
La bise
Manene
2. MarioBergeron le 07-02-2015 à 14:34:12 (site)
Il faut s'amuser, de temps à autres.
Merci.
Je n'ai jamais conduit d'automobile de ma vie. Je crois que c'est sans doute rare pour un homme approchant de la soixantaine. À 18 ans, je m'étais inscrit à un cours de conduite et même assisté à la première leçon. Le hic est que pour l'aspect pratique, il fallait un permis de conduire temporaire. Or, à cause de mon handicap visuel, je n'avais pas pu l'obtenir. L'homme m'avait dit : " À cause de ta vue, tu ne pourras pas avoir un véritable permis. Celui-ci devra être limité à la conduite à la lumière du jour." Alors, je suis sorti du local et il n'en a plus jamais été question.
Je me suis toujours rendu là où je devais aller, sans aucun problème. Quand je vois l'argent que les gens consacrent aux automobiles, pour les plaques, l'essence, les réparations, l'achat de la voiture, je pense alors que je n'aurais pu avoir tous ces disques et me payer des péchés mignons. Parfois, quand je suis dans une auto avec quelqu'un d'autre et que j'essaie de lire les panneaux de signalisation, je ne les vois pas, à moins d'être tout près. Ce fut donc une bonne décision de me dire non. Aucun regret.
L'idée de cet article me vient de la chanson de Robert Charlebois : "Avec Thérèse fraise contre fraise". Ça m'a fait sourire, car c'est une expression juteuse qu'on n'entend presque plus au Québec, mais qui était encore de mise lorsque j'étais plus jeune. T'as une jolie fraise ! As-tu vu sa fraise ? Non, dans le cas de ces exemples, il ne s'agit pas d'un fruit, mais d'un visage. Je précise même : une frimousse. Je ne sais pas d'où vient l'expression, mais elle avait son charme. Parfois, l'expression avait un sens négatif : Il va se casser la fraise : il va se casser la gueule. Alors, tous et toutes : fraise contre fraise, 'faut pas que ça niaise !
2. MarioB le 06-02-2015 à 10:32:18 (site)
Je vais aller montrer ma fraise à ma maman. Bonne fin de semaine aussi.
3. jakin le 06-02-2015 à 11:45:05 (site)
Merci pour le complément d'informations, je vais pouvoir ramener "ma fraise"....Bonne fin de semaine.....
4. MarioBergeron le 06-02-2015 à 16:00:28 (site)
On s'amuse ! On s'amuse !
Les gens qui aiment les chats savent que ces petits z'amis sont ancrés dans des habitudes très enracinées qu'ils conservent tout au long de leur existence. Il peut y avoir des points communs : se coucher sous les couvertures, s'installer dans le fond de la baignoire, ou présenter des habitudes propres à leur personnalité et au lieu où ils habitent. Dans le cas de ma Salomé : deux faits indéracinables.
1)- Quand je prends mon bain, aussitôt que je me glisse dans l'eau, la chatte arrive, monte sur le rebord de la baignore, regarde et, quand je sors un bras, elle le lèche, même si l'eau est chaude.
2)- Quand je m'installe à mon bureau pour écrire, elle monte sur le meuble précisément dès l'instant où je prends le crayon, se couche, ronronne et me regarde. Ma troisième Salomé faisait la même chose, mais en se couchant sur les feuilles. C'était moins rigolo...
Cette troisième Salomé m'a une fois fait une démonstration étonnante de son horloge intérieure. Je travaillais le soir, à cette époque, et revenais à la maison à minuit trente. En approchant de chez moi, Salomé était toujours installée à la fenêtre pour me regarder approcher. Une fois, j'avais triché et quitté le boulot une demi-heure plus tôt. En approchant de la maison : pas de chatte à la fenêtre. J'ai alors eu comme un pressentiment et décidé de demeurer à l'extérieur. La chatte s'est pointée à la fenêtre exactement à minuit trente.
1. gegedu28 le 05-02-2015 à 13:10:27 (site)
Re Mario,
C'est vrai qu'ils ont une vraie horloge en interne !
Mon Lucky sait toujours quand c'est l'heure de manger, il vient réclamer son dû au même moment, quand nous sommes à table !
Et quand je suis au dessert, il me demande STP, en mettant sa patte sur mon bras !!
Allez, gros câlins à lui.
Gégédu28
2. MarioB le 05-02-2015 à 15:06:37 (site)
Amusant ! Certains chats jouent précisément toujours à la même heure. Il pourrait y avoir tant d'exemples.
Merci !
En novembre 2013, je me suis laissé bercer par l'idée de rééditer mes romans via le format numérique offert par Amazon. Pour ce faire, je me suis penché sur les documents informatiques de ces textes et je me suis rendu compte que le fichier contenant le roman Ce sera formidable était très endommagé. Facile à expliquer : le fichier présent dans mon ordinateur est passé par le méga-ordi pro de VLB Éditeur et comme j'ai entretemps moi-même changé mon Office, c'était la catastrophe à regarder. Ça ressemblait à un ragoût de toutes les couleurs. Impossible de réparer les dégâts et j'ai tenté par tous les moyens.
Ce qui restait à faire ne me plaisait pas : recopier le roman. La chose m'était arrivé pour un autre texte, quelques années plus tôt. C'est long et pas rigolo du tout. Je me suis mis à la tâche le 3 décembre 2013 et je viens de terminer, en ce 3 février 2015. Calculez ! Pour ce travail, j'ai sacrifié un livre publié, arrachant les pages une par une, puis recopiant chaque soir. Pas que ça à faire, cependant, mais j'ai eu la discipline de recopier une ou deux pages tous les jours.
En réalité, ce boulot a été moins pénible que la première fois. Je me suis surtout rendu compte quel travail très pro cet éditeur avait fait avec ce texte. J'ai changé peu de choses : atténué la présence écrasante de points d'exclamation, remplaçé quelques mots, mais rien d'autre n'a été modifié. Cela m'a amusé, car, comme dans l'histoire de "Miroir, miroir, dis-moi qui est la plus belle", je me suis trouvé bon ! Ce roman était excellent et c'est blessant de penser au triste sort qui lui est arrivé. Je lui ai aussi redonné son titre d'origine : Le siècle du modernisme. J'ai l'impression que je vais m'ennuyer de ne plus recopier ce texte.
Au fait : l'histoire des livres numériques Amazon, c'est très compliqué à établir et j'ai laissé tomber cette idée.
J'aime les vieilles photographies parce qu'il n'y en a pas des milliers. Une photo, c'était un moment précieux, quelque chose d'unique et chacun devait paraître impeccable. Un peu comme la photo ci-haut : mes parents, lors de leurs fréquentations, au début des années 1940. Je n'en connais qu'une seule autre. Pas 122, hein ! Deux ! Ils devaient en être fiers, alors qu'aujourd'hui, c'est la banalité de l'image dans ce maelstrom de clichés qui n'en finissent plus de se multiplier. Les anciennes photos ont aussi une histoire, que ce soit dans le décor ou des détails qu'il faut observer, puis comprendre. Elles étaient un trésor et plusieurs étaient chargées d'émotions. Personne alors n'aurait pensé à photographier douze fois le gâteau d'anniversaire de fiston ou prendre trente clichés de canards, vus sur un étang de parc.
Au fait, je n'ai jamais possédé d'appareil photo de ma vie, si bien qu'il n'en existe pas des centaines de votre humble serviteur.
Le lien suivant vous dirigera vers un blogue consacré aux photographies et illustrations de jadis :
Pendant près d'une dizaine d'années, circa 1972-1982, je fus un client d'un bar de Trois-Rivières du nom de Cabaret Rio. Cabaret, ce local le fut un jour, puisque j'ai retrouvé sa trace dans les journaux des années 1950, alors que le lieu présentait des spectacles de variété du style "chanteuse exotique du Sud avec castagnettes". Il y eut, plus tard, des présentations de groupes yéyés et un grand trou noir que je ne saurais expliquer, car je n'ai pas trouvé de source. On m'a assuré qu'il y aurait eu un meurtre au Rio vers la fin des années 1960. Quoiqu'il en soit, en 1972, le mot Cabaret subsistait, mais le Rio était bel et bien une boîte rock. Très rock.
Le lieu était situé dans le sous-sol du cinéma Impérial et adoptait la forme longue d'une salle de ciné. Il y avait aussi deux paliers ; celui correspondant à la salle même et où je ne me suis presque jamais installé, puis l'autre palier, synonyme du vestibule, avec le bar à droite, puis l'estrade du DJ à gauche. C'est là que j'étais tout le temps, avec mon ami Gilles, responsable de mon initiation au Rio. L'autre grand copain Christian était plus que souvent de la partie, mais j'avais d'autres amis fidèles refusant le Rio, peut-être à cause du meurtre passé et aussi parce que le club était, dit-on, refuge de motards. Je n'ai jamais rencontré quoi que ce soit de répréhensible au Rio. Le serveur aux tables n'aurait pas voulu... Ah si ! Pas de serveuses ! Des hommes, tous de modèles géants et redoutables.
Beaucoup de musique, au Rio. De l'excellente ! On y entendait en majorité du rock et des pièces qui ne tournaient pas ailleurs. Il n'y a jamais eu de disco, de folklore ou de trucs trop mode sur les platines. C'est au Rio que j'ai connu des gens comme AC/DC, puis Police, un peu plus tard. Beaucoup de hard-rock classique (Purple, Led Zep, Sabbath) les incontournables progressifs (Yes, Genesis, ELP) et une bonne dose de Québécois. Forte, la musique ! Puissante ! Les enceintes sonores nichaient dans le fond de la boîte, de chaque côté de ce qui était une petite piste de danse.
Au Rio, on remplissait les cendriers et on vidait les bouteilles. Et on parlait, parlait sans cesse pour refaire le monde et l'actualité. On trippait ! À cause du cinéma, la musique ne pouvait pas être forte avant la fin de la diffusion des films, vers 23 heures. Très souvent, les amis me téléphonaient à 22 heures 45 pour me demande : "Tu viens au Rio ?" Inutile de s'y présenter avant : le Rio prenait vie après minuit, fermait ses portes à trois heures trente, mais je suis déjà sorti de là beaucoup plus tard.
Le Rio est disparu dans l'incendie de l'Impérial, autour de 1982. À ras le sol. Impossible de reconstruire. Je ferme les yeux et je revois la petite porte blanche avec l'indication "Cabaret Rio". Je revois l'escalier sombre où se réunissaient les fumeurs de pot. J'entends la musique, je sens l'odeur, je revois ces deux palliers. Je pense à cet aveugle et son chien guide qui était là tout le temps. Je revois les gens monter sur les chaises pour crier une demande spéciale au DJ. Et à jamais, des pièces de musique associées au Rio, comme celle que je vous présente. Plus de Rio ! J'y pense souvent... Puis j'ai des frissons en songeant à ce que le lieu serait devenu : un autre antre gouvernemental de rectitude politique.
Je n'ai pas de photo du Rio, pas plus que de l'Impérial. Alors, ci-haut, une photo de Gerry Boulet d'Offenbach me rappelant que j'ai dû entendre la chanson du jour des centaines de fois au Rio : Promenade sur Mars, par Offenbach.
1. Nikole-Krop le 03-02-2015 à 09:16:14 (site)
J'adore cette phrase : "On remplissait les cendriers et on vidait les bouteilles ."
2. MarioB le 03-02-2015 à 09:47:27 (site)
Auto citation : j'avais écrit cette phrase dans mon roman Les Fleurs de Lyse.
Au cours des trois premières années de mon association avec le premier éditeur, il n’y avait qu’une seule personne pour s’occuper des corrections des manuscrits. Par la suite, une jeune femme a été engagée, travaillant aussi comme secrétaire-réceptioniste. Je la surnommais affectueusement Ti-Boutte et elle s’occupait, dans la lecture des romans à être publiés, de tous les aspects autres que grammaticaux. Voici une liste de ses remarques à propos de certains passages du roman qui deviendra Les fleurs de Lyse. Il s’agit souvent de choses qu’un auteur ne remarque pas, car, en principe, de tels passages ne présentent pas de fautes. Cliquez pour mieux voir.
1. Nikole-Krop le 01-02-2015 à 18:31:08 (site)
Elle écrit comme un cochon cette dame ... pfff !
2. MarioB le 01-02-2015 à 18:40:46 (site)
Tu parles sans doute des notes à la main. Elles sont de moi ! Je n'arrive pas à remettre tout ça dans son contexte... Cependant, les observations de Ti-Boutte étaient pertinentes.
3. Nikole-Krop le 02-02-2015 à 08:48:14 (site)
Oups !
Et en plus, je me disais que son écriture ressemblait à la sienne ... :-)
4. MarioBergeron le 02-02-2015 à 10:03:35 (site)
Tu veux sans doute dire "À la mienne,"
Pas de "Oups" : j'ai une calligraphie très nébuleuse et il m'arrive de ne pas pouvoir me relire.
5. Nikole-Krop le 03-02-2015 à 06:27:07 (site)
Oui, c'est bien sûr ce que je voulais dire.
Qu'on ne se relise pas bien, je peux le comprendre, quand on a une écriture nébuleuse (mon frère est illisible depuis son plus jeune âge, c'en est impressionnant) mais le fait de ne pas faire l'effort d'être un tant soit peu lisible quand qqun d'autre doit nous lire (certains toubibs par exemple) ça m'agace toujours. On pourra me rétorquer que si on fait ainsi, c'est qu'on ne parvient pas à faire autrement ... mouais ! :-)
6. MarioB le 03-02-2015 à 08:04:32 (site)
Question complexe ! Pour ce qui est illustré ici, c'étaient des notes personnelles, donc, ce n'était pas destiné à devenir public.
Dans les salons du livre, lorsqu'un client achetait un roman et désirait une dédicace, je tentais d'être très bref, car j'avais déjà vu des gens froncer les sourcils en voyant ce que j'avais écrit. Un peu gênant !
Une des phobies de ma vie, cela depuis mon enfance. Violence du matin ! Je ne devrais pas chialer, car je mets tout en oeuvre pour éviter ce moment de la journée. Par exemple, reporter à trois semaines plus tard un rendez-vous chez le dentiste car on m'avait dit "Il y a une place pour vous jeudi matin à neuf heures." D'ailleurs, quand un cruel destin m'oblige à me lever à ces heures scandaleuses, cela active mon insomnie et je ne dors que deux heures, ce qui gâche entièrement le reste de ma journée. Maints problèmes lors de certains salons du livre, alors que je devrais être présent à ce moment damné de la journée. On me disait alors que je ressemblais à un zombi. Le matin, particulièrement en été, est le début des bruits incessants que je déteste profondément : petit chien qui aboie tout le temps, crétin qui passe dans la rue avec la radio au max dans sa bagnole, tondeuses à gazon, etc. Pouah ! Pouah !
Commentaires
1. manene le 08-02-2015 à 14:59:06 (site)
Bonsoir,
La correspondance par multimédia peut en effet avoir des aspects positifs. Mais cela ne doit pas altérer notre bonne humeur et notre santé. Ma petite expérience du net m'a appris que derrière une toile, il faut de la distance. Parce que lorsque tout va bien, c'est génial, mais un mot de travers ou une absence peuvent mal tourner. A un Vefblogueur que j'apprécie je lui ai dit:" Ce qui est bien avec la toile, c'est le coup d'éponge".
Prendre du recul et relativiser, sont pour moi les moyens de rencontrer parfois des pépites...et cela est rare, des gens géniaux et pour le sérieux,
je me dit qu'il ne s'agit que de quelques mots et je vis l'instant présent sans rien attendre en retour.
Voilà, en tout cas je te souhaite une bonne soirée.
La bise
Manene
2. MarioB le 08-02-2015 à 17:19:14 (site)
Merci. Le message de haine, je ne l'oublierai pas, surtout pour une demande aussi simple de cesser de répondre à mes envois à même mes messages. Pffff...